Un article de Guy Boulianne concernant le FEM est donné en référence sur le site internet de FranceSoir au sujet du documentaire Hold-Up

Un de mes articles intitulé « Le Forum économique mondial avoue son projet criminel de ruiner la population mondiale par l’intermédiaire de la grande réinitialisation » est donné en référence sur le site d’information journalistique FranceSoir, concernant « Hold-Up », le documentaire controversé qui évoque un complot mondial autour de l’épidémie de Covid-19. C’est le film phénomène dont tout le monde parle : un documentaire de près de trois heures en forme d’attaque en règle de la gestion de la crise du Covid-19. Plus d’une trentaine de personnes sont interrogées, du chauffeur de taxi à l’infectiologue Christian Perronne, en passant par l’ancien ministre Philippe Douste-Blazy.

Mon article qui fut publié le 24 août 2020, a été intégré dans le passage suivant :

« D’une manière générale, le message aurait été plus convaincant si l’on s’était arrêté aux constats plutôt que de vouloir esquisser une thèse avec un montage dramatisant. La sociologue Monique Pinçon-Charlot a beau dénoncer aujourd’hui le documentaire, ses propos sur le projet d’extermination (elle utilise le mot “holocauste” qu’elle regrette) visant à “éliminer la partie la plus pauvre de l’humanité, dont les riches n’ont plus besoin” sont compromettants pour elle comme pour le film. Il eût été beaucoup plus simple de citer les propos de Klaus Schwab, le cicérone du WEF de Davos, et de laisser le spectateur en tirer ses conclusions. »

Veuillez trouver ci-dessous quelques extraits de l’article de FranceSoir, écrit par Slobodan Despot.

Hold-Up, la part infalsifiable

[Par Slobodan Despot] Sorti le 11 novembre en VOD, le documentaire Hold-Up de Pierre Barnérias a soulevé une polémique colossale. Déprogrammé sans explication par son hébergeur Vimeo, il est allé gonfler — en libre accès — l’affluence des plateformes alternatives comme Odysee. Tant le film lui-même que son accueil et son mode de diffusion marquent une rupture essentielle.

Les Anglo-Saxons appellent cela un game changer. L’irruption de Hold-Up dans le débat sur la pandémie change de fait la règle du jeu. La gestion de cette crise a donné lieu à des critiques dès les premiers jours. L’Incident, le livre récemment publié par Nicolas Lévine, un insider de l’administration française, donne un aperçu sidérant de la désinvolture avec laquelle les autorités françaises ont abordé la crise au printemps 2020. Le bricolage, les collusions, les conflits d’intérêts et les décisions contradictoires n’ont fait que s’aggraver depuis — sans que personne, étrangement, n’en réponde. Et sans que les médias leur demandent de comptes.

Dès février-mars, des personnalités du monde de la science, de la médecine, des sciences sociales ont exprimé çà et là leurs doutes ou leurs préoccupations face à la gestion pour le moins étrange de cette crise dans les pays occidentaux et aux dérives du pouvoir et de l’information qui en résultaient. Pierre Barnérias a donné une tribune à un grand nombre d’entre elles, dont certaines voix très difficiles à réfuter en débat frontal. Son film rassemble donc en un seul endroit l’essentiel des objections soulevées depuis mars 2020. Deux heures et demie de témoignages de médecins, de savants, de praticiens, de penseurs tissent le scénario d’une pandémie surgonflée, surexploitée, devenue prétexte à une dépossession tous azimuts: des peuples dépossédés de libertés, de moyens, de représentation politique, de voix et d’yeux pour comprendre ou maîtriser leur propre sort. Serions-nous confrontés à un coup d’État technologique, mené par les empires techno-financiers, dont les autorités du monde occidental, figées dans leur ineptie et leur corruption, apparaissent comme les dupes ou les complices, ou les deux à la fois? En fin de compte, se demande le réalisateur, tout ceci ne servirait-il pas un but: le passage au tout-numérique, à la monnaie dématérialisée et au gouvernement mondial?

Pourquoi ne les a-t-on pas entendus ailleurs?

La réaction hostile des médias de grand chemin mis en cause par le film est logique. Ainsi ont-ils réagi au documentaire de Paul Moreira sur l’Ukraine ou aux témoignages (écrits, dans un siècle précédent) de Peter Handke sur le mensonge de la guerre en Yougoslavie. Quand un récit alternatif fait irruption sur le marché, et qu’il paraît convaincant, les détenteurs du récit officiel surréagissent. Ils connaissent mieux que leur public la fragilité de leur construction et ses failles. Ils savent les taux de confiance désastreux dont l’opinion les gratifie, et qui baissent d’année en année. Ils mesurent en temps réel l’érosion de leur audience en direction des diverses plateformes de néojournalisme. Ils sont à cran. Ils bondissent des deux pieds sur leur chaise en voyant la moindre souris.

La réaction la plus sage face à Hold-Up eût été de laisser pisser le mérinos et les «complotistes», comme ils les appellent, se conforter entre eux. Plus élégamment encore, de reconnaître qu’au-delà des points de détail contestables, certaines contributions auraient dû trouver leur place dans n’importe quel canal d’information.

Car la première question que soulèvent ces témoignages, la plupart frappés au coin du bon sens, est: pourquoi ne les a-t-on pas entendus ailleurs? Pourquoi une scientifique de haut vol comme Alexandra Henrion-Caude, généticienne et ancienne directrice de recherche à l’INSERM, n’a-t-elle été interrogée que par TV-Libertés et par le réalisateur de Hold-Up? Pourquoi l’anthropologue de la santé Jean-Dominique Michel, parlant d’expérience (il a survécu au Covid du printemps en s’automédicant, le système de santé l’ayant laissé moisir sans secours), a-t-il été condamné par contumace dans les médias de service public de Suisse plutôt que d’y être invité à débattre? Les millions de vues de ses vidéos «amateur» n’auraient-elles pas été un bol d’air pour ces plateformes de plus en plus désaffectées par le public?

Par contraste, Hold-Up révèle la pauvreté et le huis clos du débat de grand public. Comment se fait-il qu’à la place de ces gens qui pensent, qui cherchent et qui s’interrogent, pratiquement tout le temps d’antenne soit occupé par de péremptoires semeurs de panique, souvent criblés de conflits d’intérêts, et qui ne font que légitimer sans preuve ni discussion les décisions les plus extrêmes des autorités? Sommes-nous soudain tombés en Union Soviétique, pour que le vrai débat social, philosophique et scientifique doive se faire malgré le système et non plus en son sein?

Un «best of» de la contestation

Depuis le début de cette crise, nous avons tous, probablement, éprouvé un problème de saturation avec les vidéos. Il y en a trop! On a sans doute produit cent fois plus d’heures de vidéo de toute forme et qualité pour contrer la gestion officielle du Covid et la «science» qui la sous-tend que pour la défendre. La surabondance de contestation tue la contestation, comme l’avaient bien compris les autorités soviétiques au temps de la Perestroïka. Pour ma part, on me recommande chaque jour, en temps de visionnage, davantage de vidéos «capitales» que la journée ne compte d’heures. Or j’ai observé que si je pouvais avoir le script de ces séquences, il me suffirait d’une heure ou deux pour faire le tri du substantiel et du secondaire ou pour évaluer les arguments. Le basculement de l’enquête et de l’argumentation du texte vers la vidéo est en soi un obstacle pour l’intelligence. Les esprits sont accaparés par des heures et des heures de préambules et de digressions. Vérifier le moindre dire prend un temps fou, et retrouver l’endroit exact d’une affirmation est très fastidieux. Les arguments sont simplifiés, le langage appauvri.

Mais du moment que la bascule est faite et que l’influence passe par l’image, Hold-Up est un vecteur redoutable. Voir toutes les interventions des protagonistes interviewés serait physiquement impossible. Ce film en propose une compilation, la substantificque moelle. L’ex-ministre de la santé Philippe Douste-Blazy, qui s’est soudainement désolidarisé du film, s’est notamment plaint de ce qu’on n’a retenu que quelques minutes sur deux heures d’enregistrement. Mais ces minutes sont une véritable flèche au curare! Ce film unifie une opposition éparse, anarchique, dont personne n’avait jusqu’ici un aperçu exact. On voit désormais qu’elle est multidisciplinaire, multinationale, multiforme, mais structurée.

Le reproche de longueur ne tient donc pas la route. Ces 160 minutes sont en fait un résumé-éclair de la problématique. En revanche, le film souffre de maladresses, d’approximations et d’irruptions inutiles de mauvais goût, comme cette figure animée du Corona avec sa voix perçante et ses sketches futiles qui ne fait que caricaturer le propos.

D’une manière générale, le message aurait été plus convaincant si l’on s’était arrêté aux constats plutôt que de vouloir esquisser une thèse avec un montage dramatisant. La sociologue Monique Pinçon-Charlot a beau dénoncer aujourd’hui le documentaire, ses propos sur le projet d’extermination (elle utilise le mot «holocauste» qu’elle regrette) visant à «éliminer la partie la plus pauvre de l’humanité, dont les riches n’ont plus besoin» sont compromettants pour elle comme pour le film. Il eût été beaucoup plus simple de citer les propos de Klaus Schwab, le cicérone du WEF de Davos, et de laisser le spectateur en tirer ses conclusions.

André Carrière
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« Monsieur Boulianne, je me sens sincèrement privilégié d’avoir la chance de vous lire ! Merci pour toutes vos informations, si pertinente et réfléchies. »

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Guy Boulianne, auteur, éditeur et journaliste indépendant, membre de la General News Service Network Association (GNS Press) et de l'International Association of Press Photographers (IAPP) Il est aussi membre de la Society of Professional Journalists (SPJ). Il est le fondateur et l'éditeur en chef des Éditions Dédicaces LLC : http://www.dedicaces.ca.

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jean ronchiato

commentaire sur hold up : enfin publiquement les “autorités” sont mises en cause pour la gestion et même peut-être sûrement sur l’origine du covid … et du cirque que nous subissons depuis un an et plus…
Personnellement, j’ai mon épouse qui est paralysée depuis 1 an, alitée et hospitalisée à domicile (je refuse de confier mon épouse à un service publique qui pratique l’euthanasie et spécule sur les biens des personnes qu’ils tuent en saisissant les biens pour soit disant payer des frais hors normes destinés à endetter les plus pauvres aux profits d’officines capitalistes), elle est diabétique et à cette occasion, un cancer des seins a été découvert.
Suite à l’arrivée du confinement de Chine (les frontière restant constamment béantes pour les “touristes” et autres migrants, tous les rendez-vous médicaux ont été annulés.
Je suis resté seul avec mon épouse pendant les mois du 1er confinement.
Plus de contacts, plus d’infirmières, ni rendez-vous, tout annulé.
Seul au monde enfermé pendant des mois…
Quand le confinement a été levé (partiellement), il était trop tard pour le sein de mon épouse.
Pas de traitement (depuis que je suis au monde j’entend parler de milliards confiés à des organismes de recherches qui soit disant avancent à grands pas) mais une prise en main directe avec des chirurgiens qui ne proposent toujours rien d’autre que l’amputation de membres…
Après un dur combat pour trouver un “oncologue (cancérologue nouveau style) qui en fin de compte ne servent plus a rien, le chirurgien étant seul décisionnaire dominant, ma femme est donc emputée d’un sein.
L’opération a été faite in extremis avant le nouveau confinement, mon épouse ayant été hospitalisée 2 jours et renvoyée à la maison avec juste du paracétamol à prendre et des promesses de rendez vous “plus tard” pour “le reste”
et rebelotte, à nouveau le confinement soit disant plus léger (pour les gens utiles aux yeux de l’économie et de la Bourse)
A noter que 2 semaines avant le déconfinement, les lits commençaient à être transférer d’un hopital à un autre alors que le virus en vacances était soit disant presque disparu
Maintenant, on nous dit que la situation n’est pas près de changer, mais que vu que les “statistiques” dénombrent des morts moins nombreux chaque jour, il est question de lever les mesures de confinement pour préparer les fêtes “économiques” de Noël (parce que le jour de l’an n’est pas concerné, il y aurait plus de risque…
Bref, la bande de joyeux drilles qui nous gouverne (le président Macron et son épouse sont des proches des Rothschild et gardent même leurs enfants à l’occasion), qui font partie sans complexe des cent familles qui gouvernent la France depuis longtemps, appliquent consciencieusement les ordres que les “mondialistes” (capitalistes) leur donnent à exécuter.
Peut-être demain feront-ils les frais de subir le sort des fusibles qu’ils sont… quand une alternative “de gauche” ou “de droite” sera préférable à une explosion sociale, comme aux Etats-Unis d’Amérique du nord (dont le Canada anglophone n’est qu’une extension).
Ce sera d’ailleurs bientôt le cas aux élections prochaines qu’ils repoussent, et nous aurons le même cirque qu’avec les dernière élections américaines dont les dés étaient jetés avant même le premier vote émis…
Mais dans la population, de moins en moins de personnes ne sont dupes de ce jeux tellement répétitif que cela en est ridicule.
Le “pauvre” de base est déjà convaincu qu’il n’est qu’un jouet d’intérêts qui ne sont certainement pas les leurs.
Reste le “bof” bourgeois fainéant du cerveau qui gardait une liberté surveillée en échange de sa servilité, et qui ne reçoit plus la considération qu’il pensait garder tant que durait ce régime qui le faisait vivre.
Le bourgeois riche n’est plus utile à “l’élite” raciale et économique qui domine le système qu’il vampirise, et ces petits bourgeois feront comme avant guerre, a savoir se vendre au plus offrant en pensant ainsi éviter toute expérience “communiste” égalitaire.
Donc plutôt que de s’avouer citoyen égal aux autres dans une république juste, ils vont préférer un retour au passé avec retour avoué à la dominance de l’élite raciste ou tenter une expérience d’épuration sociale à leurs yeux nécessaire, mais il y a une chance que l’on préfère l’alliance des deux dans un nouvel “empire” d’une élite née du Dieu désigné : ce régime est le stade suprême du capitalisme, et de la réaction religieuse, le rêve fasciste italien, nazi allemand, stalinien russe, napoléonien français… Le paradis des rentiers petits et grands d’une dictature sur les travailleurs rendus à l’état de nomades par leur volonté divine.

Je dénonce avec force ce projet et tous ceux qui le soutiennent, ils sont le cancer de la vie sur terre, et l’abandon de tout espoir de bonheur pour une humanité respectueuse des valeurs de respect naturel qui sont les leurs
Les peuples vont parler, et tans pis pour les exclaves qui veulent préserver leur état par fainéantise et servilité
Le monde entier va changer, car le problème ne sera réglé que sur cette échelle qui est imposé par l’ennemi mondialiste
l’apocalypse annoncée sera en fait une libération de toutes les forces saines et humaines de la planètes qui va se débarrasser une fois pour toute de tous ces poux cancéreux qui s’imposent par leur sale argent mal gagné qui pourri tout et fait le nid du manque d’amour que chacun a droit et qui est anéanti par l’offre et le demande quantifié par des banquiers dont le nom d’humains ne peut leur être appliqué.

Salutation fraternelle pour la réalisation d’un espoir dans les forces sacrées humaines et divines pour une justice réelle permettant à tous de vivre selon nos moyens et nos besoins

Jean Ronchiato

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