Communauté religieuse des Fils de Marie Immaculée : 14 malades et 7 morts après avoir reçu l’un des vaccins expérimentaux ARNm

Entre le 14 avril et le 21 avril, tous les prêtres retraités des Fils de Marie Immaculée à Chavagnes-en-Paillers en Vendée ont reçu l’un des vaccins expérimentaux ARNm. A l’exception d’un prêtre infecté auparavant, donc naturellement immunisé. La mort a ensuite frappé la communauté. La presse locale est restée à peu près silencieuse (à part dans la rubrique nécrologique) sur la mort des pères Camille Dudit (Mai 1933 – Avril 2021), Yvon Gauducheau (Mars 1933 – Avril 2021), Henri Brenon (Février 1936 – Mai 2021), Henri Gallot (Décembre 1922 – Mai 2021), Maurice Poiroux (Août 1927 – Mai 2021), Pierre Remaud et son frère, le père Michel Remaud (1932 – Mai 2021). Le Média en 4-4-2 se demande pourquoi l’information n’est pas passée dans la presse. L’omerta ? Réponse du diocèse : « Dans leur malheur ils n’ont pas forcément pensé à rapporter la situation autour d’eux ». Ben, voyons !, rétorque le journal.

L’insigne des Fils de Marie Immaculée

Avant la série inhabituelle de décès sur une courte période, 23 prêtres âgés, français et étrangers, vivaient en communauté dans les bâtiments historiques de la congrégation, recevant l’aide d’employés non religieux du quartier. Depuis le début de la crise du Covid-19 en mars 2020, compte tenu de la vieillesse et des comorbidités de la majorité des résidents, la communauté a pris soin de suivre tous les ordres et recommandations du gouvernement et s’est rarement, voire jamais, aventurée en dehors de ses terres, selon les observateurs locaux. Les prêtres âgés n’ont pas non plus reçu de visiteurs.

Aucun n’avait été infecté par le SRAS-CoV-2 depuis le début de la pandémie à l’exception de l’un des prêtres qui avait été amené à partir en visite à diverses occasions : il a été testé positif au début de cette année, sans tomber malade, a scrupuleusement observé les mesures d’isolement à son retour. Aucun autre « cas » ne s’est produit parmi ses frères prêtres à l’époque.

En avril, au plus tôt le 14 avril et au plus tard le 21 avril, tous les prêtres, à l’exception de l’ancien prêtre infecté, ont reçu l’un des vaccins expérimentaux ARNm. Immédiatement après, une vague de Covid a frappé les prêtres vaccinés. Le prêtre non vacciné est resté négatif. Sur les 22 prêtres infectés, 21 sont tombés malades, dont six gravement, et sept sont décédés dans les deux à trois semaines et demie après avoir été vaccinés. Les défunts avaient tous quatre-vingts ou même quatre-vingt-dix ans et avaient de graves problèmes de santé.

Sont-ils morts « à cause » du vaccin expérimental ? Ont-ils été infectés « à cause » de leur récente vaccination ? Ou peut-on même dire que la vaccination elle-même les a amenés à contracter le Covid ? Aucune de ces questions ne peut être résolue facilement et avec certitude, mais la concordance des vaccinations, des infections et du taux de mortalité élevé est un fait — et un fait troublant. On s’attendrait à ce que des études et des enquêtes aient lieu sur le calendrier, les effets indésirables possibles des piqûres et la vulnérabilité possible au Covid chez les individus récemment vaccinés.

Après tout, un octogénaire qui réside en Ile-de-France avait demandé au Conseil d’État à être déconfiné après avoir été vacciné. Dans son mémoire de réponse qu’Europe1 a pu consulter, le ministre de la Santé estime qu’il est prématuré en l’état des connaissances scientifiques de différencier les « règles relatives aux limitations de circulation selon que les personnes ont reçu ou non des doses des vaccins ». Olivier Véran invoque quatre arguments. D’une part, « l’efficacité partielle des vaccins », et en deuxième lieu le fait que « l’efficacité des vaccins est devenue particulièrement contingente du fait de l’apparition des nouveaux variants ». Le juge des référés a donc rejeté la demande du requérant considérant que les personnes vaccinées peuvent être porteuses du virus et contribuer à sa diffusion : « Il ressort de l’ensemble de la procédure que pour efficace que soit la vaccination, qui ne concerne encore qu’une faible fraction des personnes les plus vulnérables, elle n’élimine pas complètement la possibilité que les personnes vaccinées demeurent porteuses du virus. », ajoutant que « les personnes vaccinées peuvent contribuer à la diffusion de l’épidémie dans une mesure à ce stade difficile à quantifier. » (Ordonnance n°450956)

En d’autres termes, dans la période qui suit immédiatement la vaccination, le risque d’être infecté et de développer une forme sévère voire mortelle de Covid est plus élevé que sans le « vaccin ».

Mais pour autant qu’on sache, aucune autopsie n’a eu lieu, ce qui est probablement une bénédiction pour les prêtres décédés, qui de toute façon sont morts à un âge avancé, et surtout leurs frères sacerdotaux et leurs proches. Mais le silence médiatique quasi complet entourant les événements remarquables est pour le moins singulier, et une forme de peur de s’exprimer est palpable à un moment où la simple remise en question de l’efficacité et de la sécurité des vaccins Covid-19 est en elle-même considérée comme une forme de « complotisme », comme on l’appelle en France : l’adhésion aux théories du complot. Mais lorsque quatre décès suivent de près un total de 22 vaccinations, des procédures de pharmacovigilance semblent nécessaires.

Dans le cas de la communauté religieuse de Chavagnes, des citoyens locaux ont déclaré à LifeSiteNews que l’un des employés avait très récemment été testé positif au Covid avant les vaccinations. Cela soulève des questions. Les prêtres avaient-ils tous été infectés très récemment avant leur vaccination, et cela a-t-il conduit à une réaction plus violente qu’ils n’auraient eue sans la piqûre ?

Le fait que le seul prêtre non vacciné ne soit pas tombé malade est également remarquable. Cela ne permet cependant pas d’établir un lien entre le vaccin et la maladie, du fait qu’il était connu pour avoir eu une infection antérieure il y a plusieurs mois, ce qui l’aurait probablement protégé de la vague Covid d’avril par immunité naturellement acquise. Quoi qu’il en soit, le Covid s’est avéré moins risqué pour lui que pour les autres membres de sa communauté.

D’autres bizarreries apparaissent. Alors que l’âge et l’état de santé des résidents expliquent que le Covid serait susceptible de les frapper plus fort que la plupart des autres, LifeSiteNews comprend qu’au moins un des décès a été officiellement attribué à un arrêt cardiaque, sans que le statut positif du défunt Covid soit noté. Avant l’arrivée du « vaccin », tous les patients positifs au Covid décédés, même ceux dont l’état de santé sous-jacent était très mauvais, étaient appelés victimes du Covid. Avec le vaccin, voici le cas d’un patient Covid dont la positivité n’intéresse apparemment plus les autorités sanitaires.

Encore une fois, cela a peut-être été une bénédiction pour sa communauté et ses proches. En France, un certificat de décès Covid signifie de sévères restrictions sur les visites de la dépouille mortelle qui sont placées dans un sac mortuaire en plastique sans les soins et les honneurs habituels, et le cercueil du défunt est fermé rapidement sur le lieu du décès. Mais cela indique la manière dont les statistiques Covid peuvent être manipulées. La vague de maladies graves et de décès qui a frappé cette communauté âgée n’a pas fait la Une des journaux, même dans la presse locale, et n’a pas donné lieu — à la connaissance de LifeSiteNews — à une enquête médicale. S’il y avait une réelle inquiétude quant aux risques potentiels liés au « vaccin » expérimental dans les situations décrites ci-dessus, n’auraient-ils pas été présentés comme un motif de prudence ?

Les Pères de Chavagnes dans la commune vendéenne de Chavagnes-en-Paillers

À propos des Fils de Marie Immaculée

Louis-Marie Baudouin, fondateur des fils de Marie Immaculée

Les Pères de Chavagnes, également nommés Fils de Marie Immaculée (ou FMI), en latin Congregatio Filiorum Beatae Mariae, Virginis Immaculatae, forment une congrégation catholique fondée par Louis-Marie Baudouin (1765-1835) dans la commune vendéenne de Chavagnes-en-Paillers.

La congrégation composée de prêtres à qui la persécution de la Révolution française a donné en contrecoup un nouvel élan missionnaire est conçue comme une sorte de fraternité pour rechristianiser les campagnes. Elle est cependant dissoute en 1818 par l’évêque de La Rochelle, Mgr Gabriel-Laurent Paillou, par manque de règle cohérente. Elle est rétablie en 1821 sous le règne de Charles X par l’évêque de Luçon, Mgr René-François Soyer : en 1828, plusieurs enseignants du petit séminaire de Chavagnes adhèrent à la communauté et se vouent à la formation de jeunes candidats au sacerdoce.

Après la mort du fondateur, c’est le R.P. Charles-Isidore Baizé, qui est élu supérieur général de la congrégation à qui il donne des bases solides. En 1839, le noviciat est ouvert, le 21 septembre 1841, les premiers dix prêtres de Chavagnes émettent leurs vœux de profession perpétuelle au séminaire de Chavagnes, tandis que cinq postulants prennent l’habit.

L’institut reçoit son decretum laudis le 22 juillet 1857 et ses constitutions sont approuvées par le Saint Siège, le 18 juillet 1898. Les nouvelles constitutions sont approuvées en 1986. Son équivalent féminin est la congrégation des Ursulines de Jésus, autrefois appelées « Dames de Chavagnes ». Les deux congrégations appartiennent à la « famille de l’Incarnation ». Le théologien français Michel Remaud était l’un des Pères de Chavagnes.

Les Pères de Chavagnes se dédient surtout à l’enseignement, notamment des séminaristes, et à l’apostolat en terres de mission. Leur spiritualité est centrée sur le mystère du Verbe incarné. Ils sont présents en France (où ils ont quatre maisons : Chavagnes-en-Paillers, Cenon près de Bordeaux, à Bonneuil-sur-Marne et à Estissac), au Canada (Québec), aux Antilles (La Dominique, Sainte-Lucie, Trinidad et Martinique), au Venezuela, au Togo et au Burkina Faso. Leur maison généralice se trouve à Chavagnes-en-Paillers, près de Saint-Fulgent.

Au 31 décembre 2005, l’institut comptait 14 maisons et 101 membres, dont 83 prêtres. En 2016, ils sont 86 membres, dont la moyenne d’âge est plutôt élevée. Les vocations ne sont plus européennes aujourd’hui, mais africaines et parfois vénézuéliennes. Le supérieur général est le P. Raphaël Serrano, de nationalité vénuézuélienne. En France, le passage des œuvres de la congrégation vers le laïcat est envisagé à cause de l’extinction des vocations dans ce pays.

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Guy Boulianne, auteur, éditeur et journaliste indépendant, membre de la General News Service Network Association (GNS Press) et de l'International Association of Press Photographers (IAPP) Il est aussi membre de la Society of Professional Journalists (SPJ). Il est le fondateur et l'éditeur en chef des Éditions Dédicaces LLC : http://www.dedicaces.ca.

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un vaccin n’utilise pas de protéine ou de morceau de virus activé
mais l’injection génique du Nouvel Ordre Mondial, utilise une protéine non seulement active mais mortel
donc ce n’est pas un vaccin, mais une arme biologique qu’on impose à la population qui transforme chacune des cellules du corps humaine en usine à fabriquer des protéines spike mortelles
« la « spike » protéine du SRAS-CoV-2 répliquée par l’ARNm ou des vecteurs viraux des pseudo-vaccins est mortifère »

Thérapies géniques : la « spike » protéine du SRAS-CoV-2 répliquée par l’ARNm ou des vecteurs viraux des pseudo-vaccins est mortifère

pierre

On se demande pendant combien de temps cette engeance immonde va réussir à cacher les accidents et les morts, nous avons vu passer un article qui disait qu’il y avait eu des erreurs de composition dans un vaccin, alors, stratégie ou dénonciation, aller savoir?

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