L’étude observationnelle du Dr Julien Devilléger, « Opération Secret 16 », sur le magnétisme chez les vaccinés. Légende urbaine? À vous de juger.

Le 14 mai 2021, je publiais un article intitulé « Combien de temps faudra-t-il pour convaincre les incrédules que nous sommes dirigés par des psychopathes de très haut calibre ? » dans lequel je faisais part d’un phénomène COVID concernant des personnes qui rapportent que lorsqu’elles appliquent un petit aimant à l’endroit où elles ont été injectées avec le « vaccin » (généralement le haut du bras), l’aimant colle. Pourtant, lorsqu’elles placent exactement le même aimant dans une partie différente de leur corps, il ne colle pas et tombe tout de suite. J’ajoutais à cet article quelques études scientifiques sérieuses concernant,— entre autres —, la protéine “Magneto” et l’administration de nanoparticules superparamagnétiques d’un vaccin à ADN.

Dr Julien Devilléger, cardiologue
Dr Julien Devilléger

Ce genre d’articles est souvent moqué et ridiculisé par les sceptiques et les “Fact Checkers”, comme par exemple le Dr Joe Schwarcz PhD, directeur du “Bureau pour la science et la société” de l’Université McGill (ancien centre de recherche MK Ultra, ne l’oublions pas).

Pourtant, plusieurs articles qui avaient une longueur d’avance sur la population en général sont aujourd’hui confirmés par les événements désastreux que la population mondiale vit actuellement et dont elle est la victime (passeport vaccinal, perte des libertés, effets secondaires du vax, etc.). De plus en plus d’intervenants politique, de médias, de médecins et de scientifiques admettent que les « alerteurs » avaient souvent raison.

Le 8 août dernier, j’ai reçu un courriel du Dr Julien Devilléger me faisant part de deux études qui ont été publiées sur le site Web de l’Association internationale pour une médecine scientifique indépendante et bienveillante (AIMSIB) : « Bonjour Monsieur Boulianne. Je suis cardiologue en Charente (France). Une étude du Luxembourg et finalement la charentaise vient d’être publiée dans AIMSIB.org (Wacssyn covid: l‘infernal scandale arrive). Le nom est pompeux mais en même temps, le sujet (magnétisme post-vaccinal) est épineux+++! Bonne lecture et au plaisir de vous relire. » Le Dr Julien Devilléger est cardiologue au Centre Hospitalier de La Rochefoucauld en région Nouvelle-Aquitaine.

Cette histoire d’aimantation post-vaccination Covid tourne en boucle sur les réseaux sociaux depuis des mois, parfaitement niés par les médias officiels et ce de manière franchement dérisoire. Un jour Amar Goudjil, Trésorier de EFVV-Luxembourg décide d’évaluer ce prétendu phénomène au-dessus des zones d’injections de 100 vaccinés et de les comparer à 100 non vaccinés. Puis le Dr Julien Devilléger, assisté de l’infirmière Jessy Duthil, réitèrent l’opération sur 75 vaccinés et 30 non-vaccinés. Aucune des deux équipes n’a prétendu se livrer à une enquête épidémiologique digne de ce nom, il s’agissait juste de lever le doute sur une possible légende urbaine. Au final c’est une surprise terrible qui devait attendre nos trois investigateurs, immédiatement transmise au Conseil de l’Ordre des Médecins.

L’étude observationnelle « Opération Secret 16 » réalisée par le Dr Devilléger vise à étudier l’aimantation d’une pièce d’un euro chez 75 patients vaccinés contre le Covid, en comparaison à un groupe témoin de 30 personnes non vaccinées. On retrouve une aimantation beaucoup plus fréquente de la partie chez les vaccinés (35/75) par rapport aux non vaccinés (2/30), p = 0,0027. Cette aimantation est beaucoup plus fréquente en cas de vaccination Astra (17/28 vaccinés) par rapport aux non vaccinés (2/30), p = 0,0014.


Dr Joe Schwarcz
Le Dr Joe Schwarcz est directeur du « Bureau pour la science et la société » de l’Université McGill, qui a pour mission de séparer le sens du non-sens. Croyez-vous qu’on peut placer notre confiance en cet homme? Voici ce que dit sa biographie sur le site Web de Juifs d’ici : « Né à Sopron, en Hongrie, le Dr Joe, comme on l’appelle affectueusement, était fasciné par la magie lorsqu’il était enfant et a vu très tôt son potentiel à la fois pour tromper et pour enseigner. » En voulant ridiculiser les autres, il se ridiculise lui-même.

1. Étude sur l’électromagnétisme des personnes vaccinées au Luxembourg

INTRODUCTION
EFVV (logo)

Depuis quelques mois, ce sont des centaines de vidéos amateurs qui fleurissent un peu partout sur les réseaux sociaux mettant en scène des personnes visiblement devenues électromagnétiques suite à la vaccination. Après que de nombreuses questions nous ont été posées par un certain nombre de nos membres sur cet effet d’électro-magnétisme « supposé » apparaissant chez les sujets vaccinés, notre association a pris la décision de s’intéresser concrètement à ce sujet pour le moins intriguant. En commun accord avec Jean-Pierre Eudier, notre président, et Toni Fernandes, notre coordinateur au Grand-duché du Luxembourg, il a donc été décidé de mener une enquête de terrain sur ce phénomène.

Cette enquête, à caractère purement statistique et sociologique portant sur cet effet d’électro-magnétisme supposé et dont il est question ici, soulève à minima et au préalable trois questions importantes :

  1. Est-il vrai que les gens présentent un effet d’électromagnétisme après acte de vaccination ?
  2. Si tel est le cas, est-il vrai que seuls les individus vaccinés présentent cet effet ?
  3. Qu’est-ce qui est réellement injecté aux individus sous la qualification de vaccin et qui provoque cet effet ?

Pour tenter de répondre à ces questions, l’enquête a été confiée à Monsieur Amar GOUDJIL, trésorier de l’association et membre chargé de traiter des questions démographiques et sociologiques.

PRÉSENTATION DES PARAMÈTRES DE L’ENQUÊTE

À des fins de réalisation accélérée, il a été décidé :

  • D’interroger un panel de 200 individus domiciliés ou travaillant au Luxembourg.
  • Que ce panel serait divisé en 2 groupes. Le premier serait composé de 100 individus vaccinés au Luxembourg et le second de 100 individus non vaccinés à des fins de comparaison.
  • Que chacun de ces groupes devrait compter 50 femmes et 50 hommes.
  • Que seuls les individus actifs seraient retenus pour participer à l’étude en raison du fait qu’ils sont beaucoup plus contraints à la vaccination que les individus inactifs.
  • Que le lieu de l’étude serait le centre commercial Belle-Étoile et la route d’Arlon à Strassen.
  • Que les variables retenues seraient donc le sexe, l’âge, la profession, le nombre d’injections, l’origine pharmaceutique des injections, la date des injections, l’attraction magnétique, l’émission-réception d’un champ électrique et la ville du lieu de résidence de la personne interrogée.
  • Il convient par ailleurs de préciser que pour des raisons de praticité, seules les personnes portant des vêtements à manches courtes ou des vêtements sans manches seraient interrogées.
PRÉSENTATION DE LA MÉTHODE D’APPROCHE ET DE RÉALISATION
  • L’interrogateur se présente aux individus, présente l’association puis il présente l’enquête : « Bonjour Madame ou Monsieur, je vous prie de bien vouloir m’excuser de vous déranger mais je m’appelle Amar GOUDJIL, je travaille pour l’association European Forum for Vaccine Vigilance (EFVV) et je réalise actuellement une enquête statistique et anonyme sur les personnes vaccinées et les personnes non vaccinées vivant au Luxembourg » … « C’est une enquête qui porte sur des informations stipulant que les gens vaccinées présentent des effets électromagnétiques et nous, à EFVV, nous cherchons à savoir quelle est la réalité observée ».
  • L’interrogateur demande ensuite aux interrogés s’ils veulent bien, en connaissance de cause, participer, de leur gré, à l’enquête : « Est-ce que vous auriez quelques minutes à m’accorder s’il vous plaît et est-ce que cela vous intéresserait de participer à notre enquête ? ».
  • L’enquêteur explique ensuite aux interrogés les intérêts de l’enquête et introduit les individus dans le vif du sujet en leur présentant un aimant qui adhère, par effet magnétique, à un objet métallique (poteau, voiture, etc). Il explique ensuite que les aimants n’adhèrent pas à l’homme et qu’ils n’adhèrent qu’aux objets métalliques mais que des informations nous sont parvenues prétendant que les gens vaccinés généraient une attraction à l’aimant en raison du fait qu’ils ont été vaccinés.
  • L’enquêteur demande ensuite à l’interrogé(e) si, il ou elle, veut bien se prêter au jeu et appliquer l’aimant sur l’endroit où, il ou elle, a été injectée.
  • Lorsque l’aimant colle à la peau au niveau de l’épaule, l’enquêteur demande alors à la personne de coller l’aimant sur l’autre épaule.
  • L’enquêteur demande ensuite à l’interrogé(e) si, il ou elle, veut bien se laisser passer un testeur de champs électriques et de champs magnétiques (marque Meterk, modèle MK54) au niveau des épaules en expliquant que des informations avaient également été rapportées à notre association et qui disaient que les gens vaccinés étaient également générateurs de champs électriques.
  • L’enquêteur continue la discussion et continue de répondre, dans la mesure du possible, aux personnes interrogées qui s’intéressent à l’expérience menée et aux résultats de l’enquête.
PRÉSENTATION SYNTHÉTIQUE DES RÉSULTATS POUR LA SEMAINE D’ÉTUDE DU 1er JUIN AU 5 JUIN 2021
  • Seuls 30 personnes vaccinées et 30 personnes non vaccinées ont finalement été interrogées alors que l’objectif était d’en interroger 100 pour le premier groupe et 100 pour le second.
  • La condition de la répartition par genre a été respectée. Dans chaque groupe, il a été interrogé 15 femmes et 15 hommes.
Dans le groupe des non-vaccinés, sur les 30 individus interrogés, le nombre de personnes présentant une attraction à l’aimant est de 0 (zéro). L’expérience s’arrête donc là pour ce groupe.
Dans le groupe des vaccinés en revanche, sur les 30 individus interrogés, 29 présentent une attraction à l’aimant. C’est-à-dire que l’aimant adhère à leur peau sans difficulté.
Sur ces 29 mêmes individus, 22 ont l’aimant qui adhèrent sur une seule épaule et uniquement sur la zone de l’injection. Ces 22 personnes sont celles qui n’ont reçu qu’une seule injection.
Les 7 autres personnes de ce même groupe ont l’aimant qui adhèrent sur les deux épaules.
  • Dans ce groupe dit des vaccinés domiciliés ou travaillant au Luxembourg, il ressort que :
    – 17 ont reçu au moins une injection du laboratoire Pfizer
    – 7 ont reçu au moins une injection du laboratoire Astra Zeneca
    – 3 ont reçu au moins une injection du laboratoire Moderna
    – 3 ont reçu l’injection unique de Johnson & Johnson
    – 6 ont reçu les 2 injections du laboratoire Pfizer
    – 1 a reçu les 2 injections du laboratoire Astra Zeneca
    – 1 reçu les 2 injections du laboratoire Moderna
  • Deux des individus de ce groupe, un infirmier travaillant au CHL et ayant été un des premiers à se faire vacciner, et un analyste financier, ont présenté des émissions de champs électrique totalement anormales. Pour l’infirmier, il a même été réalisé une vidéo qui montre les valeurs émises par le testeur aux environs de l’épaule gauche. Pour l’analyste, les valeurs émises par le testeur étaient approximativement les mêmes mais l’individu a brusquement mis fin à sa participation.
  • Sur les 30 personnes interrogées faisant partie du groupe des vaccinés, 29 résident ou travaillent à Strassen. 1 seule habite à Metz mais travaille à Strassen.
Il semblerait que les personnes qui ont été vaccinées plus tôt dans le programme de vaccination gouvernemental sont beaucoup plus électromagnétiques que les personnes qui l’ont été de façon plus récente. L’aimant adhèrent plus vite et tient mieux que chez les personnes fraîchement vaccinées.
  • Il conviendrait de prendre des mesures plus précises en relation avec ce dernier constat.

Remarque : L’exercice étant totalement déstabilisant pour les interrogés, à aucun moment il ne leur est demandé d’appliquer l’aimant sur une autre zone que les épaules. Il aurait été très intéressant de savoir si l’aimant adhère également sur les zones du cou, de la poitrine, du front ou des jambes ainsi que de savoir si d’autres objets tels que des cuillères, ciseaux et smartphones adhéraient également.

CONCLUSION
Il ressort que les personnes vaccinées dégagent bien un champ électromagnétique et que, plus les individus ont été vaccinés tôt, plus ils dégagent un champ fort. Cette sensation et cette appréciation qui relève uniquement de l’expérience tactile à l’application et au retrait de l’aimant à l’épaule devrait faire l’objet d’une vérification beaucoup plus précise avec des appareils beaucoup plus précis.

Il a été extrêmement difficile de trouver des individus acceptant de se prêter au jeu de cette expérience extrêmement déstabilisante. Les individus s’intéressent à l’expérience par curiosité et puis quand ils voient que l’aimant s’accroche à leur peau, ils deviennent dubitatifs dans un premier temps, puis d’un coup ils deviennent froids. Certains d’entre eux deviennent même extrêmement nerveux, voir complètement sous le choc. Les personnes s’interrogent sincèrement sur le fait de voir comment un aimant peut adhérer à leur peau aussi facilement que celui-ci adhère à un poteau métallique.

Ils demandent des explications et l’enquêteur les rassure en leur disant qu’il doit bien y avoir une explication. Ils sont renvoyés vers le médecin qui leur a conseillé de se faire injecter. Une dame a même pleuré en me disant qu’elle ne voulait pas se faire vacciner mais qu’elle a été contrainte parce que son employeur l’y a obligée au prétexte qu’elle travaille au contact de la clientèle.

  • Dans les discussions, il ressort que les gens ne se vaccinent même pas pour des raisons médicales ou des raisons de santé, par conviction ou par peur de la maladie mais souvent dans l’espoir de revenir à une vie normale et de pouvoir à nouveau voyager librement.
  • Lors des échanges, les gens expriment clairement leur désarroi en disant, après coup, qu’ils sont pris en otages. Beaucoup reconnaissent que cette injection est non consentie et qu’à aucun moment on leur a donné des explications rationnelles ne serait-ce que du point de vue de la balance bénéfices-risques. Ils qualifient ensuite, après réflexion et discussion, cet acte de : « erreur, folie, échappatoire, solution, ou encore même de chantage».

Ce sont exactement ces termes qui revenaient souvent.

Il conviendrait, là encore, de mener une enquête psychosociale sur les motivations réelles qui ont mené les individus vaccinés à accepter de se faire injecter. L’idéal serait de pouvoir enregistrer et filmer toutes les conversations avec les vaccinés pour ensuite les analyser.

L’enquête est prématurément arrêtée pour des raisons de conscience et de morale car l’enquêteur n’arrive plus à faire face au désarroi et à l’impuissance des gens dont le visage se pétrifie lorsqu’ils réalisent qu’ils ont été injectés d’une substance dont ils ne savent finalement rien.

L’enquêteur, qui a étudié les techniques de management et la psychosociologie par le passé, est très mal à l’aise face à ces personnes qui s’interrogent sur ce qui leur arrive. Les personnes deviennent pâles, blanches, nerveuses, se mettent une main vers le front ou alors croisent les bras en se pinçant la lèvre du bas. Certaines transpirent des mains car on les voit qui se les essuient sur les hanches ou sur les cuisses. Ces effets et ces expressions surviennent généralement dans des états d’angoisse, de stress extrême ou de tension réellement mesurable. Chez les interrogés, ces manifestations physiques incontrôlées sont révélatrices d’un profond mal-être quand ils réalisent après coup qu’ils ont sans doute commis l’irréparable. L’acte de vaccination étant un acte irréversible.

A la question, « Est-il vrai que les gens présentent un effet d’électromagnétisme après avoir subi au moins un acte de vaccination ? », la réponse est affirmative et oui, effectivement, les individus deviennent bien électromagnétiques sur zone d’injection à minima.
A la question, « Qu’est-ce qui est injecté aux individus et qui provoque cet effet ? », nous répondons que c’est aux gouvernements et aux autorités garant de la santé des luxembourgeois de répondre à cette question car ce sont eux qui ont pris la décision lourde, en amont, de vacciner les populations.

Nous ne répondrons pas ici de la responsabilité des uns et des autres mais il est certain que si des nanoparticules paramagnétiques (« nanocarriers » ou « magnetic beads ») sont entrées dans la composition de ces dits vaccins, il y a fort à parier que nous pourrions entendre parler très rapidement d’une catastrophe sanitaire sans précédent. C’est aux toxicologues et aux pharmacologues à qui il revient maintenant la responsabilité de découvrir les origines et les causes de ces effets d’attraction sur les sujets vaccinés et c’est aux garants de la santé des citoyens de ce pays de demander très rapidement l’ouverture d’une enquête sur la composition exacte et réelle de ces dits vaccins.

Synthèse et conclusion du travail d’enquête effectué par Amar GOUDJIL
pour European Forum for Vaccine Vigilance, Mamer, le 06 juin 2021.


2. Étude « Opération Secret 16 »

INTRODUCTION ET RÉSUMÉ
AIMSIB (logo)

Depuis plusieurs mois, des internautes ont tenté de mettre en évidence un magnétisme qui serait lié au vaccin (« Magnet challenge »), avec des objets fantaisistes (téléphones, clés, ciseaux, « cuillère-code »…) collés sur des zones diverses de l’anatomie : bras, front, torse, dos… entre autres !

Une seule étude observationnelle (cf supra) a été menée de façon sérieuse au Luxembourg, retrouvant une aimantation chez 29/30 personnes vaccinées ayant participé au test, mais aucune aimantation chez les 30 personnes non vaccinées participant au test à l’aimant.

D’autres expériences de terrain retrouvaient des résultats comparables ou au contraire ne mettaient pas en évidence d’aimantation chez les vaccinés, mais la population étudiée concernait des groupes de quelques personnes.

L’étude observationnelle « Secret 16 », réalisée par un cardiologue et une infirmière de Charente (France) a pour objectif d’étudier l’aimantation d’une pièce d’un euro chez 75 patients vaccinés contre la Covid, en comparaison à un groupe témoin de 30 personnes non vaccinées.

Elle retrouve une aimantation beaucoup plus fréquente de la pièce chez les vaccinés (35/75) par rapport au non-vaccinés (2/30), p=0,0027. Cette aimantation est beaucoup plus fréquente en cas de vaccination Astra (17/28 vaccinés) par rapport aux non vaccinés (2/30), p=0,0014.

POPULATION ET MÉTHODES
  • Opérateurs : Dr Julien DEVILLEGER, cardiologue et Jessy Duthil, infirmière libérale (Charente, France) du 11 juin au 27 juillet 2021
  • Statistiques : Test de Fisher (logiciel Biostat TGV)
  • Méthode de recherche d’aimantation:
    – Pièce tenue entre le pouce et l’index, avec majeur plié (en sécurité).
    – Personne debout, bras ballants, peau sèche, pilosité non développée aux bras, crème nettoyée à l’eau, puis peau séchée, sueur absorbée par serviette sèche à usage unique.
    – Pièce tenue à 20 centimètres sous le moignon de l’épaule, en effleurant la peau, sans appuyer, et en glissant de bas en haut jusqu’à 3 travers de doigts environ sous le moignon de l’épaule.
    – Technique à réaliser 2 fois de suite, en cas d’aimantation avec alternance bras gauche/bras droit.
    – Aimantation si pièce tenue au – 10 secondes
RÉSULTATS
Groupe non vacciné Covid, 2/30 personnes ont eu une adhérence de la pièce>10 secondes.
Groupe vacciné Covid, 35/75 ont démontré une aimantation de la pièce au site d’injection, et 10 ont eu une aimantation bilatérale.

A noter qu’en cas d’aimantation bilatérale, la zone aimantable était large d’environ 10-15 centimètres du côté vacciné, et environ la moitié au niveau de l’autre bras.

Détail en fonction des vaccins :
– 12/33 Pfizer (1/3 avec une dose) aimantaient la pièce
– 17/28 Astra Zeneca (2 doses)
– 4/10 Moderna (2 doses)
– 1/2 Johnson&Johnson
– 1/2 mi-Astra, mi-Pfizer, 100% bâtard

DISCUSSION ET REMARQUES
Cette étude montre une différence statistiquement significative d’aimantation chez vaccinés (43,3% vs 6,7% p=0,0014)
Cette aimantation semble plus fréquente pour les vaccinés Astra (60,7% vs 38,7%), mais sans significativité statistique (p=0,37), en raison de la taille de l’échantillon.
Elle est beaucoup plus souvent bilatérale en cas de vaccination Astra (28,6%) qu’avec les autres vaccins (3,5%), p=0,016.

Il a été rapidement que les 1ers vaccinés Pfizer n’aimantaient pas, contrairement aux Pfizer récents.

Même si la recherche de magnétisme post-vaccinal est simple, il est important de faire cette recherche dans des conditions rigoureuses, pour éviter les fausses aimantations (crème, sébum+++). La moitié des patients testés par Le Dr J. Devilleger l’ont été sans connaître au préalable le statut vaccinal et en cas de vaccination, sans en connaître le côté. Sur 27 patients qui aimantaient, il a trouvé 25 fois le bon côté, et 2 fois, il s’est trompé (cas des aimantation bilatérale).

Autres expériences :
– aimant en ferrite : ne marche pas, n’a servi que pour montrer que la pièce d’un euro est aimantable.
– aimant en néodyme : Très difficiles à décoller, un aimant s’est cassé en 2, ces produits sont de manipulation dangereuse
– lecteur RFID : 0/12 sur vaccinés (5 aimantaient), alors que le lecteur fonctionne sur chien pucé.
– lampe UV : RAS
– magnétomètre (Phyphox) : pas de variation significative du champ magnétique

CONCLUSION
Ces résultats confirment ceux retrouvés par l’étude du Luxembourg, avec une différence très significative d’aimantation entre vaccinés et non-vaccinés, et cette dernière est plus fréquente et surtout plus souvent bilatérale en cas de vaccination Astra.
Tous les vaccins utilisés semblent concernés par ce phénomène.

Cela doit nous interroger sur la composition des vaccins utilisés, afin de mieux apprécier les éventuels risques d’interactions magnétiques, notamment en cas d’IRM programmée (dernières IRM 7 Teslas+++).

Dr Julien Devilleger
Jessy Duthil, infirmière – Juillet 2021

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Guy Boulianne, auteur, éditeur et journaliste indépendant, membre de la General News Service Network Association (GNS Press) et de l'International Association of Press Photographers (IAPP) Il est aussi membre de la Society of Professional Journalists (SPJ). Il est le fondateur et l'éditeur en chef des Éditions Dédicaces LLC : http://www.dedicaces.ca.

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[…] de nanoparticules superparamagnétiques d’un vaccin à ADN. Trois mois plus tard, je publiais un second article concernant l’étude observationnelle du Dr Julien Devilléger, « Opération Secret 16 », sur le […]

[…] mois plus tard, je publiais un second article concernant l’étude observationnelle du Dr Julien Devilléger, « Opération Secret 16 », sur le […]

[…] mois plus tard, je publiais un second article concernant l’étude observationnelle du Dr Julien Devilléger, « Opération Secret 16 », […]

Paul-Emic

je ne crois pas, celui-ci sera “imprimé” sur le poignet et lisible avec un smartphone bien que restant invisible à l’œil nu.
Je pense, mais c’est mon interprétation, que ce sera une sorte de code QR invisible et que le smartphone pourra y lire un certain nombre de renseignements comme l’identité, l’âge, le sexe, des données fixes et invariables mais qu’il pourra si nécessaire se connecter à une base de données qui lui donnera les données variables comme le statut vaccinal, l’adresse, le métier etc.
La motivation officielle était de doter d’une identité les personnes vivant dans des endroits où ils en étaient dépourvus . Comprendre des pays en voie de développement où toute la paperasse permettant de ficher les gens n’existe pas où est très sommaire, le vrai but c’est en fait de ficher toute la population mondiale comme on recense un cheptel

Paul-Emic

A reblogué ceci sur Politique émois et moiet a ajouté:
On n’explique pas encore vraiment ce qui cause ce magnétisme, mais il semble bien qu’il existe. Au-delà de sa cause il est légitime de s’interroger sur ses effets.

Jean Tardy

C’est possiblement le micro tatouage magnétique mandaté par Gates et publié dans “scientific American”

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