Lié à des groupes terroristes, le chef du NPD — Jagmeet Singh — a trahi tous les Canadiens en prenant position pour les mesures d’urgence

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Nous savons maintenant que la révolution du dictateur Justin Trudeau a reçu l’appui du parti communiste des néodémocrates, dirigé par le sikh Jagmeet Singh, en prenant position pour les mesures d’urgence (anciennement: Loi sur les mesures de guerre) qui ont été approuvées avant-hier soir par 185 députés, tandis que 151 s’y sont opposés. Je vous invite à lire mon livre, “La Société fabienne”, pour en apprendre plus sur le passé communiste du Nouveau Parti démocratique (NDP). En résumé, le NDP a succédé en 1961 à la Fédération du Commonwealth coopératif (FCC), un parti fondé en 1932 dans l’Ouest canadien par des groupes socialistes, agrariens, mutualistes et syndicaux. La conclusion de son Manifeste de Regina (1933) était la suivante : « Aucun gouvernement de la FCC ne restera satisfait tant qu’il n’aura pas éradiqué le capitalisme et mis en œuvre tout le programme de planification socialisée qui conduira à la création au Canada du Commonwealth coopératif ». Le parti était lui-même affilié à l’Internationale Socialiste.

Mais qui est donc Jagmeet Singh pour avoir osé trahir l’ensemble des Canadiens en votant pour le maintien de la loi sur les mesures d’urgence alors que celle-ci n’était pas du tout nécessaire puisque la police a depuis longtemps évacué les manifestants du centre-ville d’Ottawa et rouvert les passages frontaliers ? Bien sûr, nous ne serons pas surpris d’apprendre qu’il est,— à l’image de Justin Trudeau, — membre des “Young Global Leaders” du Forum économique mondial, sous l’égide du grand prêtre Klaus Schwab. Mais il y a plus. Nous verrons ci-dessous que son passé nébuleux et tortueux ne lui permet pas de donner des leçons et de mettre à mal la population canadienne.

Jodhveer Singh Dhaliwal, beau-frère de Jagmeet Singh

Nous savons que Jagmeet Singh a condamné les camionneurs du « Convoi de la liberté » (Freedom Convoy), associant directement le convoi et ses supporters à la « suprématie blanche ». Pour le chef du NPD, « les organisateurs sont manifestement des gens d’extrême droite qui veulent diviser la population et ont exploité la frustration des gens ». Une lecture jugée absurde par Joanie B. Pelchat, leader et “capitaine” de la branche québécoise du convoi de camionneurs, pour qui le mouvement est d’abord constitué de « gens ordinaires » sans affiliation politique particulière. Les camionneurs ont tout de même été soutenus par des entrepreneurs à succès comme Elon Musk et des intellectuels de renommée mondiale comme Jordan Peterson.

Nous savons également que son beau-frère, Jodhveer Singh Dhaliwal, avait fait un don de 13 000 $ à la collecte de fonds sur la plateforme GoFundMe en soutien au convoi de camionneurs. Une source au parti néodémocrate avait alors confirmé que le beau-frère de Singh avait lancé une procédure pour que son don lui soit restitué après avoir été informé de « la vraie nature de cette organisation ». Le croit-on aussi imbécile ?! J’aimerais savoir maintenant si les comptes bancaires de Singh Dhaliwal seront bloqués comme ils le sont pour ceux qui ont contribué ou participé à cette manifestation pacifique ? Évidemment, le don de son beau-frère a placé le chef du NPD dans une position difficile. L’homme politique canadien fut interrogé sur le don de son proche au Convoi de la Liberté et le public l’a réprimandé parce que le député s’oppose au rassemblement, malgré le don de son parent.

Jodhveer Singh Dhaliwal est marié à Manjot Dhaliwal, sœur de la femme de Jagmeet Singh. De ce fait, il est le beau-frère du député. Selon le National Post, Dhaliwal est également lié à la députée libérale Ruby Sahota, qui représente la circonscription de Brampton North en Ontario. Il avait auparavant été accusé de voies de fait causant des lésions corporelles. L’agression s’est produite le 28 février 2021 lorsqu’un rassemblement de partisans du gouvernement indien a rencontré des contre-manifestants sikhs à Brampton, en Ontario, entraînant un certain nombre d’affrontements verbaux et physiques. Les charges ont ensuite été abandonnées, mais la victime a exprimé sa colère face à la décision du parquet. Il a dit que personne ne l’avait consulté avant de prendre la décision et qu’il pensait que des forces extérieures étaient en jeu. La victime, Yashdeep Shinde, affirme également qu’il avait l’impression que justice n’avait pas été rendue.

Selon le DailyHunt en Inde, les preuves accablantes ont maintenant prouvé que les éléments khalistanais, dirigés par Jagmeet Singh, avaient tenté de perturber le rassemblement pro-indien à Brampton. Les partisans de Jagmeet Singh sont descendus dans les rues pour attaquer et maltraiter non seulement les Canadiens-Indiens, mais aussi profaner le drapeau indien en représailles pour avoir défendu la cause des liens indo-canadiens.

Ci-haut se trouve une photo de Jodhveer Singh Dhaliwal qui a donné de l’argent au Convoi de la liberté et l’a ensuite réclamé. Notez le tatouage de Jarnail Singh Bhindranwale sur son bras. Cet homme a été tué en tant que terroriste par les forces de sécurité indiennes. Jarnail Singh Bhindranwale était le quatorzième jatheks, ou chef, de l’éminente institution religieuse orthodoxe Sikhami. Alors que la plus haute autorité temporelle des Sikhs, Akal Takht, le décrit comme un « martyr », avec un immense attrait parmi les sections rurales de la population sikh qui le considéraient comme un chef puissant s’étant opposé à la domination et à la répression de l’État indien, pour la plupart des Indiens, il symbolisait un mouvement revivaliste, extrémiste et terroriste, qui reste un point de discorde.

Jagmeet Singh semble lui aussi avoir un attrait pour les dictatures et autres mouvement terroristes, en particulier le mouvement Khalistan. Le 26 novembre 2016, il publia un tweet marquant la mort du dictateur cubain Fidel Castro. « Il a vu un pays ravagé par la pauvreté, l’analphabétisme et la maladie. Il a donc mené (sic) une révolution qui a amélioré la vie de millions de personnes. RIP #FidelCastro », écrit-il, accompagné d’une photo de Castro. Comme l’écrit la journaliste Robyn Urback, « la limite de caractères sur Twitter à l’époque était de 140, alors peut-être devrions-nous donner à Singh le bénéfice du doute et supposer qu’il aurait ajouté : “Oh, mais Castro était aussi un tyran qui a commis des crimes monstrueux contre son propre peuple” si seulement il avait la limite de 280 caractères de Twitter aujourd’hui. »


Jagmeet Singh — le sympathisant notoire de la terreur Khalistani

Toujours selon le média indien DailyHunt, à la suite des attaques d’éléments pro-Khalistan au Canada, les membres de la diaspora indienne, qui avaient participé au rassemblement, ont allégué que les attaques avaient été menées par des personnes étroitement liées au sympathisant du Khalistan et chef du NPD, Jagmeet Singh, l’un des cerveaux des attaques contre la diaspora indienne étant son beau-frère Jodhveer Dhaliwal. Peut-être que la réaction de colère du sympathisant khalistani Jagmeet Singh contre les Canadiens d’origine indienne, en particulier les Indiens, survient au milieu de la campagne en cours contre lui au Canada par plusieurs personnes d’origine indienne, qui l’ont accusé d’inciter des éléments khalistanais à cibler les Indiens vivant au Canada.

Au mois de février 2021, plusieurs personnes d’origine indienne avaient organisé une manifestation devant le bureau du sympathisant terroriste du Khalistan Jagmeet Singh à Burnaby, au Canada, alléguant que les partisans du Khalistan les visaient en raison de la manifestation en cours des agriculteurs en Inde. Les manifestants s’étaient pressés devant le bureau de Jagmeet Singh portant des drapeaux canadiens et protestaient contre l’incitation à la haine contre les communautés lors des manifestations d’agriculteurs en cours en Inde.

Selon le DailyHunt, les manifestations devant le bureau de Jagmeet Singh s’inscrivent dans le contexte de ses tentatives répétées d’inciter les sikhs et d’autres manifestants en Inde à semer le chaos dans les rues de l’Inde. Jagmeet Singh, qui est notoirement connu pour son soutien au séparatisme du Khalistan, a tenté de se mêler des affaires de l’Inde et a été à l’avant-garde de la propagande mondiale contre le gouvernement indien élu.

Jagmeet Singh est non seulement accusé d’avoir financé les manifestations des agriculteurs dans le pays, mais il est également considéré comme l’homme derrière la propagande anti-indienne de l’auteur-compositeur Rihanna. Rihanna avait attisé une énorme controverse non seulement en s’immisçant dans la politique intérieure de l’Inde, mais aussi en approuvant la violence au nom du soutien aux manifestations des « agriculteurs ».

À la lumière de ces allégations, les NRI s’étaient rassemblés devant le bureau de Jagmeet Singh pour protester contre l’alimentation des tensions entre les communautés au nom des protestations des agriculteurs. Peut-être, irrité par les protestations croissantes contre lui, Jagmeet Singh a-t-il orchestré la violence contre les Indiens lors du rallye de Brampton.

Tel que mentionné auparavant, l’auteur-compositeur international Rihanna a tenté de colporter une fausse propagande contre l’Inde en exprimant sa solidarité avec un groupe de manifestants, accusés d’avoir déclenché des émeutes dans les rues de Delhi. Alors que Rihanna, ainsi que d’anciennes stars du porno et des manifestants non pertinents ont approuvé la violence au nom du soutien aux manifestations des « agriculteurs », plusieurs citoyens du pays se sont tournés vers les plateformes de médias sociaux pour condamner l’ingérence inutile d’étrangers dans les affaires intérieures du pays.

Lançant un avertissement sévère aux célébrités étrangères, le ministère des Affaires étrangères (MEA) a demandé à ces personnes et entités étrangères de vérifier les faits et de bien comprendre la protestation des agriculteurs avant de se précipiter pour la commenter.

Cependant, quelques heures après que Rihanna ait pris d’assaut une controverse politique massive, des rapports ont mis en évidence la raison de l’intervention de Rihanna pour soutenir les manifestants khalistanais déguisés en « fermiers » en Inde. En fait, on soupçonne que le politicien canadien Jagmeet Singh, qui est notoirement connu pour son soutien au séparatisme du Khalistan, pourrait être derrière la propagande anti-indienne de Rihanna. Quelques heures après que Rihanna a publié un tweet intervenant dans les affaires de l’Inde, le législateur canadien controversé s’est rendu sur Twitter pour saluer Rihanna pour avoir constamment « élevé et renforcé la voix des opprimés ».

Selon le quotidien OpIndia en Inde, le chef du Nouveau Parti démocratique (NPD), qui est accusé de financement du terrorisme et sous le radar des agences de renseignement indiennes pour avoir abrité des sympathisants pro-Khalistani, partage une bonne relation avec l’auteur-compositeur Rihanna et s’en est vanté ouvertement dans une émission de télévision.

Une nouvelle carte du Canada est apparue sur Twitter montrant la nation du Khalistan. L’image est intitulée « Canada Banega Khalistan », signifiant que le Canada obtiendra le Khalistan. Selon la carte récemment publiée sur le réseau social, la nouvelle nation khalistanaise semble se fondre avec l’Ontario et le Québec. Selon le média IFE News Network — et sous toutes réserves —, de nombreux experts occidentaux l’appellent un complot majeur en cours dans le pays, avec la montée en puissance d’un groupe terroriste interdit en Inde appelé « Khalistan ».

Qui est Jagmeet Singh ?

Jagmeet Singh (en pendjabi : ਜਗਮੀਤ ਸਿੰਘ ਧਾਲੀਵਾਲ), également connu sous le nom de Jimmy Dhaliwal, né le 2 janvier 1979 de parents indiens immigrants au Canada, est un avocat et un homme politique canadien. Il a été député provincial pour Bramalea—Gore—Malton en Ontario de 2011 à 2017, chef adjoint du NPD Ontario de 2015 à 2017 et chef du NPD au niveau fédéral depuis 2017. Il a été le premier sikh à porter le turban à devenir membre de l’Assemblée législative ontarienne et le premier à occuper la position de chef d’un parti politique au Canada.

Cependant, Jagmeet Singh est connu pour son soutien aux terroristes khalistanais et a ouvertement exprimé son soutien aux khalistanis anti-indiens au Canada, ce qui lui a valu l’étiquette de « pro-Khalistan ». En 2013, le gouvernement indien avait refusé à Singh un visa pour se rendre en Inde pour avoir critiqué le bilan des droits de l’homme en Inde. Lui refusant un visa, le gouvernement indien l’avait accusé d’abuser de la cause des droits de l’homme pour poursuivre son « programme insidieux de perturber le tissu social de l’Inde et de saper la paix, l’harmonie et l’intégrité territoriale de l’Inde ». Il est également devenu le premier législateur occidental à se voir refuser l’entrée dans le pays.

En juin 2015, Singh, qui n’était alors qu’un député néo-démocrate de l’Assemblée législative de l’Ontario, est apparu sur scène lors d’un rassemblement du Khalistan à San Francisco qui avait présenté une grande affiche de Jarnail Singh Bhindranwale, le terroriste du Khalistan, qui a dirigé un mouvement armé contre l’Inde et avait occupé le Temple d’or. Singh a parlé du meurtre de sikhs en Inde en 1984 à la suite de l’assassinat de la première ministre de l’époque, Indira Gandhi, le qualifiant de génocide. Bhindranwale est peut-être l’exemple parfait de la façon dont le terroriste d’un homme est le combattant de la liberté d’un autre ; un peu comme Fidel Castro, et Che Guevara, et d’autres révolutionnaires dont les visages peuvent être trouvés sur des T-shirts portés par des étudiants sur les campus universitaires du monde entier. Mais Jagmeet Singh n’est plus à l’université, et il n’est plus un député provincial relativement obscur de l’Ontario.

En réponse, Singh a de nouveau évité de donner des éclaircissements significatifs : il a publié une déclaration dans laquelle il condamnait « tous les actes de terrorisme partout dans le monde, peu importe qui les commet et qui en sont les victimes » et a poursuivi en décrivant le traumatisme de l’assaut de l’armée indienne de 1984 contre les Sikhs. des militants et des émeutes anti-sikhs qui ont fait des milliers de morts, mais il n’a utilisé aucun de ses quelque 500 mots pour dire « Je condamne les actions violentes de Jarnail Singh Bhindranwale ». C’est généralement quelque chose que l’on devrait faire si, même par coïncidence, on se retrouve à partager une scène ou un espace de rallye avec une affiche de Bhindranwale. Il a également choisi de ne pas clarifier sa position sur une patrie sikh indépendante. C’est important pour la même raison que le discours « Vive le Québec libre » du président français Charles de Gaulle était important, amplifié d’innombrables fois dans le contexte d’une lutte bien plus tendue, sanglante et dévastatrice que tout ce que nous pourrions même concevoir ici au Canada.

Le chef du NPD, Jagmeet Singh, s’exprime lors d’un séminaire sur la souveraineté sikh en 2016 où les orateurs ont parlé de leur supériorité et ont approuvé la violence.

En février 2016, Singh avait participé à un séminaire pro-Khalistani organisé par la National Sikh Youth Federation (NSYF) basée au Royaume-Uni dans la banlieue de Londres et intitulé “Sovereignty and Polity”. L’un des orateurs, Shamsher Singh du NSYF, a parlé de deux perceptions « diamétralement opposées » de l’identité sikhe. « L’une concerne la souveraineté, explicitement et sans compromis », a-t-il déclaré. « Elle confirme la supériorité de notre culture, de notre langue et de nos idéaux. Il s’agit d’espaces sikhs et d’institutions sikhs. Et elle approuve la violence comme une forme légitime de résistance et de survie. » L’autre, a-t-il dit, embrasse la conformité et la « marchandisation de notre culture ». Étonnamment, dans son discours, Singh avait même accusé l’Inde d’avoir commis un « génocide » contre les sikhs lors de l’assaut du Temple d’or.

Singh ne semble pas encore avoir saisi cette distinction, comme en témoigne son incapacité à clarifier sa position sur l’extrémisme khalistanais, qui est composé d’éléments radicaux du mouvement séparatiste sikh. En octobre 2017, lorsqu’il a été interviewé par Terry Milewski de CBC après le congrès à la direction du NPD, Singh n’a pas dénoncé le culte de la personne de Talwinder Singh Parmar, par exemple dans des affiches affichées à l’extérieur des temples sikhs et d’autres lieux publics.

Le séparatisme sikh résonne au Canada depuis que des extrémistes de Vancouver ont commis le pire attentat terroriste au Canada en 1985 quand des membres du groupe terroriste Babbar Kalsa ont fait exploser une bombe sur un Boeing 747 d’Air India qui faisait la liaison Toronto-Montréal-Londres-Delhi. Trois cent vingt-neuf personnes, en majorité des Canadiens, ont trouvé la mort près des côtes d’Irlande. Parmar est largement considéré comme le cerveau derrière cet attentat à la bombe. Singh a été interrogé sur l’extrémisme sikh parce qu’il s’est impliqué dans des causes sikhs, notamment en s’exprimant à l’Assemblée législative de l’Ontario contre la peine de mort pour Balwant Singh Rajoana, membre d’un groupe terroriste sikh qui a conspiré pour tuer un politicien punjabi. [PDF]

En avril 2017, Jagmeet Singh était également responsable de l’adoption d’une motion reconnaissant les émeutes sikhs de 1984 en Inde comme un « génocide ».

La propagande anti-indienne de Jagmeet Singh ne s’arrête pas là. Suite à l’abrogation de l’article 370 par le gouvernement Narendra Modi, Singh avait même exprimé son soutien à la propagande pro-pakistanaise sur le Cachemire. Il avait fait des déclarations publiques contre l’Inde et accusé le pays de violations des droits de l’homme dans la région.


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Guy Boulianne, auteur, éditeur et journaliste indépendant, membre de la General News Service Network Association (GNS Press) et de l'International Association of Press Photographers (IAPP) Il est aussi membre de la Society of Professional Journalists (SPJ). Il est le fondateur et l'éditeur en chef des Éditions Dédicaces LLC : http://www.dedicaces.ca.

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