Le banquier hollandais repenti, Ronald Bernard, nous dit : « Seule la connaissance de la vie réelle vous libérera de l’esclavage et de vos chaînes »

Dans une entrevue accordée à Irma Shiffers pour la chaîne DVM-TV, l’ex banquier de la haute finance Ronald Bernard nous dévoile des informations de première main concernant la Banque des règlements internationaux (BRI) et ceux qui la dirigent. Son témoignage révèle la véritable nature obscure du monde dans lequel nous croyons tous vivre : corruption, fraudes, guerres, manipulation, tromperie, satanisme et pédocriminalité.

Ronald Bernard confirme d’emblée qu’il existe 8500 illuminati dans le monde. Selon lui, la Banque des règlements internationaux est au dessus de Washington, Londres ou le Vatican dans l’organigramme du pouvoir. Tout est possible pour l’élite, qui peut changer d’identité chaque jour si elle le souhaite, truquer tous les documents qu’ils veulent et créer leurs propres règles. Il évoque le nouvel ordre mondial. Un programme combiné avec les système financier pour nous asservir totalement. Un monde ou l’argent sera entièrement géré numériquement.

Au moment de raconter le pire de ce qu’il a vu et de ce qu’on lui a demandé de faire, sa voix s’étrangle… Voici, entre autres choses, ce que Ronald Bernard nous dévoile :

« Ces 8000 – 8500 personnes font usage du système monétaire, un système monétaire financier auquel nous nous référons dans nos vies tel que l’argent et les banques, utilisé dans nos vies quotidiennes. Donc, le mécanisme qu’ils utilisent est en effet un système en forme de pyramide. Alors, vous avez le sommet de 8000 – 8500 personnes, ensuite la couche en-dessous d’eux, ils ont créé une institution en 1930, cela fut fait à partir des Pays-Bas, appelée la BIS (BRI). La Banque des règlements internationaux, avec le siège social localisé en Suisse, ils sont le quartier-général des banques, et du système financier. Le sommet (8000 – 8500 personnes) donnent des ordres à la BRI à Bâle, à partir d’où ils se propagent vers le bas à partir du système afin d’être exécutées.

« On connaît Bâle à partir des Accords de Bâle, ça a mal tourné avec les banques et ensuite nous avons eu Bâle I, Bâle II, Bâle III, certaines personnes ont entendu parler de ces accords ou lu à propos de ceux-ci dans les journaux, tout ça c’est à propos de la BRI.

« Donc, comme je viens de le dire cette entité a vu le jour en 1930, originaire des Pays-Bas et déjà en 1931 la BRI était reconnue mondialement par pratiquement tous les pays comme étant le quartier général du monde financier. Chaque banque centrale est un membre de ce “club BRI” qui est une organisation civile (privée), pas une qui est gouvernementale, qui a un accord de siège social qui décrit en totalité ce que la BRI représente, la portée de son pouvoir, les niveaux d’autorisation, les opérations et le rendement. Quand vous lisez ce que contiennent ces documents, ce qu’ils supportent, ils sont disponibles sur leur site web (voir ci-dessous), vous voyez comment ils ont incorporé toutes ces règles, reconnues mondialement, affirmant leur indépendance de la Suisse, les terres sur lesquelles se trouve leur siège social sont indépendantes du reste du pays.

« Il est également fait mention de leur immunité, il est également fait mention qu’ils sont au-dessus de tout règlement mondain, personne ne peut les toucher, ils ont complète immunité. Donc ils ont une immunité complète sur toute chose sur terre. De plus, ils ont leur propre service de police, alors vous ne pouvez juste y aller en criant “Bande de bâtards!” ou quelque chose de la sorte, parce que vous ne pourrez pas vous en tirer.

« Pour être concis, c’est un État immunisé pleinement reconnu, au-delà de la portée de n’importe quelle règle. Inviolable. (…) Sous la banque centrale, la BRI, nous retrouvons le Fonds monétaire international et la Banque mondiale. La prochaine couche serait les banques centrales, encore toutes des organisations civiles (privées), indépendantes de toute organisation gouvernementale parmi lesquelles, de nos jours, nous avons la Banque centrale européenne et la Réserve fédérale des États-Unis. Nous avons ensuite les banques régulières, mais également les centres de marché boursier. (…) Sous elles nous trouvons les multinationales, et ensuite en dessous nous trouvons les gouvernements, et finalement sous eux nous trouvons nous-mêmes, le peuple. La vie réelle. »

« Nous parlons maintenant de ces États souverains avec immunité de la part de tout le monde, des États souverains où rien ni personne ne peut rien faire pour les contrer, ce qui inclut les personnes travaillant pour ces institutions, eux aussi disposent de l’immunité. »


Extraits de l’Accord entre le Conseil fédéral suisse et la Banque des Règlements Internationaux en vue de déterminer le statut juridique de la Banque en Suisse :

Le Conseil fédéral suisse reconnaît la personnalité juridique internationale et la capacité juridique en Suisse de la Banque des Règlements Internationaux (désignée ci-après la Banque).

Inviolabilité
  1. Les bâtiments ou parties de bâtiments et le terrain attenant qui, quel qu’en soit le propriétaire, sont utilisés aux fins de la Banque, sont inviolables. Nul agent de l’autorité publique suisse ne peut y pénétrer sans le consentement exprès de la Banque. Seul le Président, le Directeur Général de la Banque ou leur représentant dûment autorisé est compétent pour renoncer à cette inviolabilité.
  2. Les archives de la Banque et, en général, tous les documents, ainsi que les supports de données qui lui appartiennent ou se trouvent en sa possession, sont inviolables à tout moment et en quelque lieu qu’ils se trouvent.
  3. La Banque exerce le contrôle et la police de ses locaux.
Immunité de juridiction et d’exécution
  • La Banque bénéficie de l’immunité de juridiction.
  • La Banque bénéficie sur ses biens et avoirs, où qu’ils se trouvent et quels qu’en soient les détenteurs, de l’immunité d’exécution (notamment à l’égard de toute mesure de saisie, séquestre, blocage ou d’autres mesures d’exécution forcée ou de sûreté et, en particulier, de séquestre au sens du droit suisse).
  • Les dépôts confiés à la Banque, toute créance sur la Banque, ainsi que les actions émises par la Banque, où qu’ils se trouvent et quels qu’en soient les détenteurs, ne pourront faire l’objet, sauf accord exprès préalable de la Banque, d’aucune mesure d’exécution (notamment de saisie, séquestre, blocage ou d’autres mesures d’exécution forcée ou de sûreté et, en particulier, de séquestre au sens du droit suisse).

Les membres du Conseil d’administration de la Banque, ainsi que les représentants des banques centrales membres de la Banque, jouissent durant l’exercice de leurs fonctions en Suisse et au cours des voyages à destination ou en provenance du lieu de réunion des privilèges et immunités suivants :

  • immunité d’arrestation ou de détention et immunité de saisie des bagages personnels, sauf en cas de flagrant délit ;
  • inviolabilité de tous papiers et documents ;
  • immunité de juridiction, même après la fin de leur mission, pour les actes accomplis dans l’exercice de leurs fonctions, y compris leurs paroles et écrits ;
  • privilèges et facilités en matière de douane accordés conformément à l’ordonnance du 13 novembre 1985 concernant les privilèges douaniers des organisations internationales, des États dans leurs relations avec ces organisations internationales et des missions spéciales d’États étrangers ;
  • exemption, pour eux-mêmes, leur conjoint et leurs enfants de toute mesure limitant l’entrée, de toutes formalités d’enregistrement des étrangers et de toutes obligations de service national ;
  • les mêmes facilités en ce qui concerne les réglementations monétaires ou de change que celles accordées aux représentants de gouvernements étrangers en mission officielle temporaire ;
  • droit d’user de chiffres dans leurs communications officielles et de recevoir ou d’envoyer des documents et de la correspondance par l’intermédiaire de courriers ou par valises diplomatiques.

Pyramide & Illuminati

Source : Accord entre le Conseil fédéral suisse et la Banque des Règlements Internationaux en vue de déterminer le statut juridique de la Banque en Suisse (du 10 février 1987 ; texte modifié, avec effet le 1er janvier 2003, par l’échange de lettres des 18 décembre 2002/13 janvier 2003).

La Banque des règlements internationaux

Siège de la BRI à Bâle (Suisse).
Siège de la BRI à Bâle (Suisse).

L’auteur américain Dean Henderson écrit dans son livre “Big Oil & Their Bankers In The Persian Gulf” :

« La Banque des règlements internationaux (BRI) fut établie à Bâle en Suisse en 1930. C’est la banque la plus puissante au monde, une banque centrale mondiale contrôlée par huit familles qui contrôlent le cercle des banques centrales de presque toutes les nations. Le tout premier président de la BRI fut la banquier des Rockefeller, Gates W. McGarrah, un officiel de la Chase Manhattan Bank et de la Réserve Fédérale. McGarrah est le grand-père de l‘ancien directeur de la CIA Richard Helms. Les Rockefeller et les Morgan ont des liens três étroits avec la City de Londres et la famille Rothschild.

« La BRI est propriété de la Réserve Fédérale, de la Banque d’Angleterre, de la Banque d’Italie, de la Banque du Canada, de la Swiss National Bank, Nerderlandsche Bank, la Bundesbank et la Banque de France. Le gouvernement américain a eu un manque de confiance dans la BRI, faisant pression pour sa disparition sans succès à la conférence de Bretton Woods en 1944. Au lieu de cela le pouvoir des huit familles en contrôle fut renforcé avec la création lors de cette conférence du FMI et de la Banque Mondiale. La banque de la Réserve Fédérale ne prit des parts de la BRI qu’en 1994. La BRI tient au moins 10% des réserves monétaires d’au moins 80 des banques centrales du monde, du FMI et autres institutions multilatérales. Elle sert d’agent financier pour les accords internationaux, collecte des informations sur l’économie mondiale et sert de prêteur de dernier recours pour prévenir un effondrement financier global.

« La BRI fait la promotion d’un agenda de monopole capitaliste fasciste. Elle a donné un pont d’emprunt à la Hongrie dans les années 90 pour assurer la privatisation de l’économie de ce pays. Elle a servi d’intermédiaire pour le financement Illuminati d’Adolf Hitler, mené par les Warburg, J. Henry Schröder & Co. et la banque Mendelshon d’Amsterdam. Bon nombre de chercheurs affirment que la BRI est le cœur et centre nerveux du blanchiment mondial de l’argent de la drogue.

« Ce n’est pas une coïncidence si la Banque des règlements internationaux a son quartier général en Suisse, l’endroit favori pour cacher les richesses de l’aristocratie mondiale et quartier général à la fois de la loge maçonique P2 Alpine et du nazisme international. »

L’historien américain Carroll Quigley, dans Tragedy and Hope, affirme que :

« La puissance du capitalisme financier avait un autre plan, celui de créer rien de moins qu’un système mondial de contrôle financier aux mains du privé capable de dominer le système politique de chaque pays et l’économie mondiale comme un tout. Le système serait contrôlé de façon féodale par les banques centrales du monde agissant de concert, grâce à des accords secrets obtenus lors de réunions et conférences fréquentes.

« Le sommet de la pyramide devrait être la BRI de Bâle en Suisse, une banque privée possédée et contrôlée par les banques centrales mondiales.

« Chaque banque centrale, aux mains de gens comme Montagu Norman de la Banque d’Angleterre, de Benjamin Strong de la Réserve fédérale de New York, de Charles Rist de la Banque de France et de Hjalmar Schacht de la Reichsbank allemande, cherchait à dominer son gouvernement par sa capacité à placer des emprunts du Trésor, à manipuler les cours de change, à influencer le niveau d’activité économique du pays et à influencer des hommes politiques coopératifs par des récompenses dans le monde des affaires. »

BRI - Guide to the BIS archives (2017)Sur le dépliant de la BRI de 2017 figurent les grandes figures à l’origine de la vénérable institution de Bâle. Le troisième à partir du haut est Hjalmar Schacht, nommé à la tête de la Reichsbank par Adolph Hitler en 1933.

Selon ce qu’affirme Schacht dans son autobiographie, c’est lui qui convainquit Owen D. Young que le succès de son plan (visant à alléger la dette de l’Allemagne par rapport aux accords conclus en 1924 dans le cadre du plan Dawes) ne serait total que si l’on confiait à l’avenir les négociations sur les réparations de guerre à un organisme d’experts indépendants disposant d’un statut d’immunité totale et hors d’atteinte de tout contrôle parlementaire : la Banque des règlements internationaux (BRI).

Schacht, qui savait que suite au crash boursier de 1929 le plan Young était condamné à l’échec et allait provoquer l’ire de la population allemande, donna d’abord son agrément, puis démissionna tout en dénonçant immédiatement le plan qualifié par Hitler de « diktat de Versailles ». Le plan Young était si répugnant qu’il poussa de nombreux Allemands dans les bras du parti national-socialiste.

Après les élections de 1932, où le parti nazi NSDAP raflait plus du tiers des sièges au Parlement, Schacht, organisa une réunion afin de réunir 2 millions de marks pour renflouer le parti nazi et lança un appel signé par les grands dirigeants industriels demandant au président Hindenburg de nommer Hitler chancelier. Cela fait, Hitler nomma, le 17 mars 1933, Schacht à la tête de la Reichsbank. Schacht jugea peu efficace les ratonnades commises par les nazis « de base » et proposa à Hitler des méthodes « plus efficaces » pour valoriser leurs biens.

Tout comme le Plan Dawes, le plan Young échoua rapidement, et Hitler cessa de payer les réparations de guerre tout en utilisant la BRI pour la vaste palette de facilités qu’elle offrait.

Jusqu’en 1936, Hitler donna carte blanche à Schacht. En janvier 1937, il est nommé membre honoraire du parti nazi et décoré de la Swastiska d’or. Cependant, Schacht, mis en concurrence avec Goering, démissionna de son ministère en 1937 et de la Reichsbank en 1939, estimant que les dépenses d’armement excessives allaient réveiller l’inflation et ruiner les finances allemandes. Schacht restera cependant ministre sans portefeuille jusqu’en 1943. A partir de cette date, toute personne intelligente savait que le régime était condamné et rejoignait éventuellement, comme Schacht, la Résistance. C’est sans doute pour cela que la brochure de 2007 de la BRI exhibe encore fièrement son portrait…

Ce n’est qu’à la fin de la Seconde Guerre mondiale que l’on « découvre » que l’or fourni par l’Allemagne à la BRI provenait en fait des stocks d’or de la Belgique et des Pays-Bas pillés par les nazis. Ce n’est pas étonnant puisque la BRI était truffée de sympathisants enthousiastes du régime Hitlérien.

« Par son statut particulier, la BRI serait un des premiers paradis fiscaux au monde facilitant le blanchiment d’argent. Preuve qu’il s’agit d’un Etat dans l’Etat, nul agent de l’autorité publique suisse ne peut pénétrer dans son siège car la banque exerce le contrôle et la police dans ses locaux. »

Karel Vereycken


NOTE : Précisons que la Loi sur l’immunité de la Banque des règlements internationaux (L.C. 2007, ch. 35, art. 140) stipule que pour des raisons de sécurité nationale ou pour la conduite des affaires internationales du Canada ou la mise en oeuvre de ses obligations internationales, le gouverneur en conseil peut décider que, dans la mesure qu’il précise : a) la banque, ses biens et ceux qui lui sont confiés ne font pas l’objet de l’exemption visée à l’article 2; b) la banque ne bénéficie pas de l’immunité de juridiction; c) les biens de la banque et ceux qui lui sont confiés sont saisissables et peuvent faire l’objet de mesures d’exécution.

RÉFÉRENCES :

Stéphane Bilodeau
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