La lanceuse d’alerte Karen Kingston est toujours disparue : « Je n’avais pas réalisé que demander de l’aide était considéré comme une calomnie »

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En ce jour du 28 août 2023, nous pouvons affirmer sans hésitation que la disparition de la lanceuse d’alerte Karen Kingston est désormais confirmée. Celle-ci n’a pas été retrouvée malgré qu’elle ait contacté sa famille le 20 août et qu’elle ait publié une vidéo étrange dans laquelle elle apparaît nerveuse et anxieuse, comme sous l’effet de la menace, disant qu’elle se sentait en sécurité « pour l’instant ». L’organisme paragouvernemental mexicain, la Comisión de Búsqueda Quintana Roo, n’a toujours pas publié de notice de disparition pour Karen Kingston qui inclurait la mention “localisée” (localizada), comme elle le fait lorsqu’un dossier est résolu (voir ici). À mon avis, deux hypothèses se présentent désormais à nous, soit elle est prise en otage, soit elle se cache de peur d’être assassinée par la CIA comme elle le disait elle-même dans sa première vidéo. Évidemment, je penche pour cette deuxième hypothèse puisque, si elle était prise en otage, elle ne pourrait pas communiquer comme elle le fait sur ses comptes Substack, Twitter et GETTR.

Le 6 août 2023, la dénonciatrice publia une vidéo sur son compte GETTR dans laquelle elle annonçait avoir fui les États-Unis parce qu’elle craignait pour sa vie. Grâce au service professionnel de transcription et de sous-titrage Amberscript (que j’utilise régulièrement dans mon travail d’édition), nous savons exactement ce que Karen dit dans cette vidéo à partir de 00:36:13 minutes :

« Si je n’ai aucune crédibilité et que je suis si insignifiante, alors docteur Malone, pourquoi ne pas avoir un débat sur votre invention dans cette technologie et vous pourriez me détruire publiquement et m’humilier ? D’accord ? Mais si vous avez des amis de la CIA et qu’ils peuvent me traquer comme un animal sauvage, je veux dire, je suppose que c’est plus facile. Mais s’il vous plaît, arrêtez ça, s’il vous plaît. Vous avez des amis à la CIA. Dites-leur de se retirer et d’arrêter de me hanter. Arrêtez de me traquer ! Vous n’avez aucune idée de la taille de ce syndicat mondial du crime et ils ont beaucoup d’argent. Ce n’est rien pour eux de dire à quelqu’un : “Voici 1 000 $. Quand cette femme s’assoit, mets ça dans son sandwich, tu sais, avant de lui servir ou de le mettre dans son verre d’eau”. (…) “Tu sais, propose-lui 10 000 $ ou 100 000 $”. Ces gens ont de l’argent illimité et ils sont mondiaux. Je n’ai nulle part où me cacher d’eux. Je viens de sauter des villes et des comtés pour rester en vie, pour rester littéralement en vie. Et encore une fois, je connais Robert F. Kennedy Jr. Vous savez qu’il a évidemment un problème avec la CIA. Il est bon ami avec Malone. Bobby, je t’en supplie. Je suis désolé, M. Kennedy. Je vous supplie de parler au docteur Robert Malone et de ne pas me faire tuer, de ne pas me faire tuer. »

À 00:37:38 minutes de la même vidéo, Karen s’adresse aux gens en disant : « Vous savez, je veux que vous sachiez que je suis en très bonne santé. Je suis une excellente nageuse et je ne suis pas suicidaire. Je me bats ici pour vous et pour l’avenir de l’humanité. »

Il semble que le 19 août 2023, cette autre lanceuse d’alerte, le Dr Carrie Madej, ait partagé un message privé rédigé par Carolina Galvan. Cette dernière écrivait dans ce message rendu public :

⟶ OBJET : Une assistance urgente est nécessaire pour localiser la plaignante de Pfizer, Karen Kingston

Chers collègues,

J'espère que ce message vous trouvera bien. Je vous écris pour demander de toute urgence votre aide afin de localiser la dénonciatrice de Pfizer, Karen Kingston, qui n'a pas été vue depuis la diffusion de sa vidéo le 6 août. Par la suite, sa dernière communication a eu lieu avec son frère le 9 août, et aucun autre contact n'a été établi depuis sa dernière vidéo en direct de GETTR implorant aide et miséricorde. C'est avec une profonde inquiétude que je vous contacte pour demander de l'aide dans cette affaire.

Karen Kingston a également exprimé son sentiment de danger potentiel pour l'hôtel où elle séjournait. Face à cela, j'ai personnellement pris l'initiative d'intervenir et de dialoguer avec la direction de l'hôtel du 15 au 16 août. Je dois souligner la plus grande confidentialité en partageant les informations suivantes : les effets personnels de Karen Kingston ont été laissés sur place, y compris sa carte de crédit, son sac à main, son téléphone et potentiellement un ordinateur portable (récupéré dans la poubelle d'un hôtel à proximité), ce qui a souligné l'urgence de cette situation préoccupante.

Je voudrais attirer votre attention sur le fait qu'un rapport public de personnes disparues a été officiellement déposé au Mexique auprès de CBPEQROO, la commission de recherche Quintana Roo. De plus, j'ai initié un dossier auprès de l'ambassade des États-Unis pour assurer une recherche complète et une assistance rapide pour retrouver Karen.

Votre soutien dans la diffusion de ces informations est essentiel à nos efforts collectifs pour retrouver Karen Kingston. (Pour votre référence et diffusion, les détails pertinents peuvent être trouvés ici).

En période d’incertitude, la solidarité entre journalistes est vitale. Votre collaboration pour faire connaître cette situation pénible est profondément appréciée. Nous espérons qu’avec votre participation, nous pourrons rapidement apporter une solution positive à cette question.

Merci pour votre temps et votre considération.

Sincèrement,
Carolina Galvan - 281-310-0696
CGTV Production

➽ La disparition de Karen Kingston est confirmée par l’une de mes correspondantes sur le réseau social VKontakte

Le 24 août dernier, je vous informais que j’avais demandé à mon correspondant Eric Archambault,— un québécois vivant dans la région de Quintana Roo —, s’il pouvait téléphoner la Comisión de Búsqueda Quintana Roo pour savoir s’ils avaient retrouvé Karen Kingston, ce qu’il fit. Voici ce qu’il me répondit :

« Ils ne peuvent pas me donner de détails, car je ne suis pas de la famille ou un journaliste accrédité, puisque l’affaire est toujours en cours, donc «elle est toujours portée disparue en ce qui concerne le Mexique». (…) Je voulais ajouter que la manière précise qu’ils l’ont dit est qu’ils maintiennent les communications avec la personne qui a rapporté la disparition, toute autre personne étant à l’évidence exclue, donc je ne pense pas qu’il répondront à votre message. »

Quelques heures plus tard, il me donna des précisions supplémentaires :

« Je leur ai demandé s’ils n’avaient pas des nouvelles positives à donner concernant sa disparition. Ils n’en avaient pas et ont dit que concernant son cas ils continuaient de maintenir les communication avec la personne qui a rapporté la disparition. Ils n’ont donc pas dit explicitement les paroles entre guillemets. Ça c’est plutôt ma formulation. La notice est toujours là et ils demandent de la partager. »

Or, une de mes correspondantes sur le réseau social VKontakte (VK) a elle-même contacté la Comisión de Búsqueda Quintana Roo par l’intermédiaire de la messagerie Facebook, en leur envoyant les deux derniers articles de Karen. Elle a reçu exactement la même réponse que Eric Archambault. Les responsables lui ont répondu que le personnel de garde de la Commission maintient la communication avec la personne qui a signalé la disparition de Karen Kingston : « Malheureusement, nous ne pouvons pas fournir d’informations par ce biais. » Ma correspondante se pose alors cette question : « Alors que dit sa famille ? » L’anesthésiste, le docteur Margaret Aranda Ferrante a repris sur son compte Twitter (X) une publication de ma correspondante dans laquelle cette dernière écrivait en substance : « Guy Boulianne; un ami au Mexique a téléphoné à la Comisión de Búsqueda Quintana Roo pour avoir des nouvelles de Karen Kingston. Ils disent qu’ils ne peuvent pas donner de détails. L’affaire est toujours en cours, toujours portée disparue en ce qui concerne le Mexique. » Ce à quoi le frère de Karen, Ron Kuchler, répondit : « On m’a dit [la commission] que Karen devait les contacter. C’est à elle de décider. Nous ne pouvons rien faire. » [Voir le tweet ci-dessous.]

Il y a quatre jours, Karen Kingston republiait un entretien qu’elle avait accordé à Stew Peters le 23 juin 2023, et dans lequel elle rappelle que Malone avait débattu avec Joe Rogan le 31 décembre 2021, disant que la protéine Spike peut déclencher une inflammation cérébrale, faisant en sorte que des choses peuvent entrer dans votre cerveau qui ne devraient pas y entrer. [Transcription« Il admettait dans les faits qu’il s’agissait d’une arme biologique », dit-elle. Malgré sa peur intrinsèque, elle ne craint toujours pas d’affronter et de défier le Dr Robert Malone dans l’arène de la vérité.

Elle réitérait le jour même sur ses comptes Substack et GETTR en écrivant ce qui suit :

« Veuillez prendre 10 minutes pour regarder ces clips de moi et du Dr Malone. Je n’ai pas accusé le Dr Malone d’avoir de mauvaises intentions à mon égard. En tant que victime, j’ai plaidé pour ma sécurité et j’ai demandé l’aide du Dr Malone. J’ai été personnellement calomniée pour avoir lancé ce plaidoyer. Des personnes (avec qui je n’avais aucune relation personnelle ou professionnelle) ont même contacté ma famille en affirmant que je souffrais de délires provoqués par le paludisme. (Un diagnostic clinique inventé)

« Le Dr Malone a récemment nié les déclarations qu’il avait faites sur Joe Rogan concernant ses relations avec la CIA et le fait que Pfizer était au-dessus des lois internationales. Écoutez le témoignage vidéo du Dr Malone et décidez par vous-même.

« Je préfère mettre cela de côté et préférerais de loin me concentrer sur les criminels que nous pouvons poursuivre, comme Pfizer. Merci Audra pour votre temps et votre investissement dans la réalisation de ce court clip. »

➽ « Fermer un chapitre, pas le livre » — Un message étrange de Ron Kuchler, frère de Karen Kingston

Substack, mercredi le 23 août 2023

Une photo de Ron Kuchler avec sa mère, publiée le 23 août 2023. Ils ne semblent pas être très inquiets de l’absence de Karen.

Cette crise familiale très publique avec ma sœur Karen Kingston m’a beaucoup appris sur la nature humaine.

Il existe trois groupes de personnes :

  • ceux qui sont vraiment de bonnes personnes et qui veulent aider par bonté de cœur.
  • des personnes maléfiques qui travailleront contre vos meilleurs efforts ou qui propageront des messages pour détruire des vies
  • et les spectateurs qui sont 99% d’entre nous

J’ai appris que la fin d’un chapitre de notre vie n’est pas dictée par nous. La fin est dictée par le mal et par notre lutte contre lui. Au début, notre combat contre le mal était une affaire familiale et privée. Malheureusement, le mal a gagné cette bataille et l’affaire familiale est devenue une crise publique. Et, même si je ne l’avais pas reconnu à l’époque, les forces du mal œuvraient dans l’ombre pour diviser notre famille. Nous entreprenions des actions privées pour retrouver Karen, mais souvent, le mal court-circuitait ces actions.

Notre conviction était que lorsque ma sœur Karen Kingston reprendrait ses lignes de communication directes, ce chapitre de notre vie se terminerait. Le mal n’était pas prêt à laisser ce chapitre se terminer. Des attaques ont commencé à affluer contre les personnes à part entière qui faisaient partie de l’équipe familiale dans notre recherche de Karen, mettant en lumière l’importance de Karen et relayant nos demandes d’aide (GiveSendGo). J’ai riposté pour fournir la lumière du soleil afin de désinfecter ces attaques malveillantes.

Dans cet article, je fournis un ensoleillement supplémentaire en prévision de futures attaques. Merci pour la lecture.

Tout comme Karen n’a pas peur de mettre fin à la tyrannie de l’empoisonnement des gens sans leur consentement éclairé, je n’ai pas peur de protéger ma petite sœur, même si nous pouvons parfois être en désaccord sur le raisonnement et les méthodes.

Je tiens à remercier les personnes et organisations suivantes pour leur aide dévouée dans notre effort familial pour retrouver Karen. De plus, à la demande de Karen, nous avons mis fin au GiveSendGo familial que j’avais autorisé le Dr Margaret Aranda à ouvrir au nom de la famille. Évidemment, puisque Karen avait disparu, elle ne savait pas que nous avions entrepris cette démarche. Nous avons également demandé à GiveSendGo de rembourser les dons aux donateurs. On nous a dit que cela pourrait prendre jusqu’à 5 à 7 jours. La famille a pris en charge les frais de traitement de chaque don.

Alors merci à….

  • La députée américaine Young Kim et son équipe
  • Le consulat américain à Playa del Carmen
  • L’Agence américaine des passeports
  • Le Bureau des personnes disparues du gouvernement fédéral du Mexique
  • La police de Playa del Carmen
  • Greg, Cesar, Ruth, Carolina, le détective Giovanny, Mark, le Dr Margaret Aranda et les nombreux amis et connaissances professionnelles de Karen qui ont fourni des informations importantes et des éclaircissements sur les interactions récentes de Karen avant de disparaître.

Comme vous pouvez le constater, ce n’était pas une mince affaire. Nous ne nous sommes pas contentés de passer un appel téléphonique ou deux et de dire : « hé… organisons simplement un GiveGoSend ». Nous avons discuté avec plusieurs détectives privés, agences et organisations à la recherche de Karen. Nous avons obtenu des devis sur ce qu’il en coûterait pour retrouver Karen et la ramener à la maison. Le Dr Margaret Aranda a gagné ma confiance très tôt et je lui ai demandé de gérer les communications GiveSendGo et les réseaux sociaux.

Notre recherche a impliqué de nombreuses agences fédérales et internationales différentes. Des appels téléphoniques quotidiens étaient adressés à des représentants du gouvernement mexicain, à des entreprises et à des particuliers, ce qui nécessitait le recours à un traducteur pour faciliter les discussions. Carolina Galvan a joué un rôle clé dans l’organisation des efforts visant à retrouver notre personne disparue, en mobilisant les ressources nécessaires au Mexique pour retrouver Karen et en facilitant les communications avec le consulat américain, ce qui a conduit à un soutien accéléré de la police mexicaine et du gouvernement fédéral mexicain. Elle a été extrêmement accommodante avec notre famille 24 heures sur 24 et a souvent travaillé jusqu’aux petites heures du lendemain pour retrouver et protéger Karen.

Les attaques personnelles contre ces dames doivent cesser. En apprenant à connaître le Dr Margaret, j’ai découvert qu’elle était un être humain authentique, chaleureux et attentionné. Au fur et à mesure que j’ai appris à connaître Carolina, je ne voudrais personne d’autre à mes côtés pour rechercher un membre de ma famille disparu. Elle a été sans relâche dans notre recherche de Karen. Il n’y avait rien d’autre pour ces dames que des critiques et des attaques publiques. Ils en étaient conscients lorsqu’elles se sont portées volontaires pour aider la famille. J’étais le naïf. Je n’avais pas compris à quel point un public mal informé ou non informé pouvait être laid et haineux. Aussi difficile à croire pour 95 % de la population et 99 % des médias sociaux, il existe en réalité des gens qui font des choses par bonté de cœur.

Greg et Cesar ont fourni des canaux de communication essentiels au gouvernement mexicain et m’ont aidé dans mes discussions au sein de ces canaux. Cesar a donné accès à un canal différent au sein du gouvernement mexicain qui a agi comme un multiplicateur auprès des autorités mexicaines locales pour mobiliser des ressources afin de retrouver ma sœur. L’inspecteur Giovanny a mené les recherches pour retrouver ma sœur. Même si nous avions une barrière linguistique, il a exploité la technologie d’aujourd’hui pour communiquer.

Avec l’aide du bureau de la députée Young Kim, pour la première fois de ma vie, vendredi dernier, j’ai obtenu un passeport pour pouvoir voyager à l’étranger. Ils ont pu accélérer un rendez-vous afin que je puisse traiter la demande de passeport en une journée. Au cours de la semaine dernière, à deux reprises, nous avons réservé des billets pour le Mexique pour déposer un rapport de police en personne à Playa del Carmen (on nous a dit que c’était le seul moyen de déposer un rapport de police – plus ci-dessous) et rechercher personnellement Karen. Nous avons annulé une fois en raison de l’arrivée d’une tempête tropicale à l’heure de départ, puis annulé la seconde car Karen est sortie de sa cachette.

Au début, l’ambassade américaine au Mexique et le consulat régional de Mérida étaient loin d’être accommodants. Mes efforts pour mobiliser leurs ressources ont été contrecarrés par la loi américaine de 1974 sur la protection de la vie privée. Cherchez. Finalement, grâce à la pression exercée par Carolina et Cesar, le consulat américain à Playa del Carmen s’est activement intéressé à la disparition de Karen. Lorsque Karen est finalement apparue, j’ai eu une conversation avec le consulat. Ils ont déclaré, pas textuellement mais en substance, qu’ils n’avaient jamais vu des responsables locaux se mobiliser avec une telle rapidité et une telle intensité une fois le rapport sur la disparition de Karen déposé. Et ils ont été étonnés que nous puissions déposer un rapport de police sans comparaître en personne. Ils ne savaient pas que c’était possible.

Ernest Luque me transmettait quotidiennement les courriels qu’il pensait pouvoir être utiles pour retrouver Karen. Il y avait beaucoup de personnes que Karen ne connaissait pas et qui lui ont offert un coup de main pour la retrouver. J’ai accepté ceux, après vérification, qui, je pensais, pourraient aider et j’en ai rejeté beaucoup que je ne pouvais pas contrôler ou que je pensais qu’ils feraient plus de mal que de bien. Il y avait des individus qui travaillaient dans l’ombre contre nos efforts, ce qui n’a fait que rendre les choses plus difficiles. Ils mentiraient aux amis et associés de Karen. Je recevais des appels téléphoniques des personnes avec qui ils parlaient. Ils me diraient que tu ne croiras pas ce que quelqu’un vient de me dire à propos de toi et ce qu’ils allaient faire pour essayer d’arrêter ta recherche de ta sœur. Cela fait partie du mal que j’ai mentionné. Ensuite, il y a eu ceux sur les réseaux sociaux qui ont applaudi que Karen ait été empoisonnée ; arguant qu’elle ne souffrait pas des effets néfastes du paludisme et des médicaments ni d’attaques antérieures contre son système immunitaire. Ce sont des gens méchants. Et pour ces gens méchants et cyniques qui diront que le frère ne fait que se vanter, j’ai un doigt pour vous. Et votre réaction est typique et ne fait que prouver mon point de vue. Vous ne valorisez pas la vie humaine. Vous ne voulez que le carnage et le chaos. Je préférerais être attaqué pour avoir fourni un aperçu de 10 000 pieds de ce que la famille a fait pour retrouver Karen au lieu de devoir constamment répondre aux flèches jaillissant de l’obscurité avec de nouvelles accusations et insinuations.

Il est maintenant temps pour moi de clôturer le chapitre de ma sœur ici dans mon livre Substack. J’apprécie tous ceux qui ont commencé à me suivre pour des mises à jour sur la santé et la sécurité de Karen. Mon Substack reviendra demain sur mes sujets favoris : la politique, l’histoire et la politique. Pas de rancune si vous ne suivez plus ou mettez fin à votre abonnement. Je m’excuse pour toute faute de frappe ou erreur grammaticale. Je n’ai pas pris le temps de passer cela dans mon logiciel de grammaire.

Ma famille et moi apprécions votre soutien pendant que nous travaillons sans relâche pour retrouver Karen et rétablir la communication avec elle. Si nous avons commis des erreurs, qu’il en soit ainsi. Dès le début, notre seule préoccupation était la santé et la sécurité de Karen. Comme le dit d’abord mon credo politique : « Personne n’est parfait ». Si vous êtes un humain parfait, j’aimerais vous rencontrer pour une tasse de café afin de voir de mes propres yeux à quoi ressemble la perfection.

Salutations,

Mon ami, le lieutenant-colonel à la retraite Royston Potter écrit à propos du commentaire de Ron Kuchler : « C’était beaucoup de conneries, de pointage du doigt, d’accusations et d’auto-adulation ! Plus important encore, ils ne donnent toujours aucune preuve que Karen est “retrouvée”. C’est notre affaire ? Peut-être pas, mais elle a contacté PLUS que sa famille, donc ses questions de “vie privée” sont du ressort de Karen, pas du nôtre. Je sens les rats. » Comme je l’ai écrit dans un précédent article, je tiens à vous faire remarquer que Ron Kuchler est le rédacteur en chef du magazine érotique Kandy, un milieu “artistique” qui est souvent assez proche de la pornographie et de la prostitution. On le voit ici en compagnie de plusieurs modèles lors du 10e anniversaire du magazine le 11 septembre 2021 à Anaheim, en Californie.

Jacques G.
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« Encore une fois, un gros merci pour la V É R I T É que vous nous amenez. »

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