Les Accords de Monaco et la libération des nations de la domination de l’oligarchie

Ce fut un moment décisif destiné à être savouré par les futurs historiens. Vers la fin du mois d’août 2011, une réunion secrète de cinquante-sept ministres des finances du monde entier a été lancée avec la tâche de mettre en place un nouveau système financier international adossé à des actifs. Ce fut un début modeste mais décisif pour ce qui allait devenir, en moins de deux ans, l’alliance des cent quatre-vingt nations BRICS.¹

Le rassemblement était un puissant colloque sur invitation uniquement, organisé par Neil Keenan, un homme d’affaires international irlandais et des représentants du gouvernement suisse. Le rassemblement a débuté sur la terre ferme dans la Principauté de Monaco et de Monte-Carlo, puis a été transféré sur un yacht privé de 160 pieds dans les eaux internationales adjacentes. Cette conférence a parfois été appelée “La réunion des 57” et le résultat “Les Accords de Monaco”. À l’époque, le but de la réunion des Accords de Monaco était de libérer les nations non alignées (en particulier les nations asiatiques) de la domination et du contrôle de l’oligarchie occidentale du G7.

Les pays représentés à la réunion en qualité de gouvernement officiel sont la Suisse, les Pays-Bas, la Tchécoslovaquie, la Bulgarie, la Roumanie, la Chine, la Russie, le Brésil, l’Argentine, l’Uruguay, le Paraguay et le Venezuela. Le Canada était représenté à titre non gouvernemental. Divers groupes de pouvoir transnationaux positifs étaient également présents, tels que la faction de réforme du Pentagone et de la CIA.

Jay Rockefeller
Jay Rockefeller, Sénateur des États-Unis en 2011.

Certains joueurs se sont vus refuser l’entrée. Parmi eux figuraient Naoto Kan, Premier ministre japonais récemment destitué, Christine Lagarde, directrice générale du FMI, et tous les membres du continuum nazi américain (le syndicat Rockefeller-Kissinger-Bush). Aucun gouvernement du G7 n’a été invité à titre officiel.

Pour Jay Rockefeller, c’était comme se faire jeter hors de ses propres funérailles. Son syndicat familial avait perdu l’Europe l’année précédente au profit des Rothschild et plus récemment le Japon au profit de la Famille Dragon asiatique (Asian Dragon Family). Il fut empêché de participer à la réunion, sur la passerelle du navire, par Neil Keenan lui-même.

Rockefeller a tenté de se faire entendre avant le colloque de Monaco. Il a été rebuffé. « Tu ne sais pas qui je suis? », a-t-il ordonné. « Oui, vous êtes exactement la personne que nous ne voulons pas sur ce bateau », a répondu Neil Keenan. Après l’éjection sans cérémonie de Jay Rockefeller, le yacht a été survolé par les hélicoptères Blackhawk du syndicat Rockefeller avant que les avions de combat français ne donnent un signal d’alarme et que les hélicoptères se soient retirés. Rockefeller avait fait rage sans effet et avait appris que le nouveau monde était désormais courageux et que les “vieilles mégères” comme lui n’étaient que de la poussière à emporter.

Les hélicoptères Blackhawk de Rockefeller avaient survolé le yacht, dans l’intention, dit-on, d’activer la technologie d’écoute et d’utiliser des armes à impulsions électromagnétiques pour perturber les débats. Si tel est le cas, il serait difficile de surestimer l’importance de la réunion.

Monaco
Vue panoramique de la Condamine et de Monte Carlo où eut lieu la réunion secrète organisée par Neil Keenan.

L’introduction d’un nouveau système financier mondial adossé à des actifs pour remplacer le système usuraire babylonien qui est en train de s’effondrer est une réforme attendue depuis longtemps. On ne peut que s’attendre à ce qu’il soit aujourd’hui au centre des préoccupations politiques à de nombreux niveaux nationaux en dehors de la cabale occidentale du G7. Alors que les pressions croissantes sur la dette ont un impact sur les prix des denrées alimentaires et de l’énergie, ainsi que sur les possibilités d’emploi dans le monde entier, l’instabilité politique devient une pandémie.

Le colloque de Monaco a lancé la seule solution financière permettant de résoudre le problème. Ce qui a été discuté est étroitement lié au « pardon de la dette mondiale » (Global Debt Forgiveness), à la résolution du blocage par la société de Washington DC du versement des 47 milliards de dollars du Fonds mondial pour le règlement global (World Global Settlement Funds), à la mise en œuvre du projet de remboursement de 10 000 milliards de dollars américains et au retour à une norme internationale reconnue, basée sur l’Étalon-or.

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Neil Keenan devant la photo de Kennedy et de Soekarno, premier président de la République d’Indonésie et unique contrôleur Monétaire authentique élu (M1).

Au colloque de Monaco, un accord a été créé et formalisé par les organisateurs de cette réunion, le gouvernement suisse. Au cours de la troisième semaine de décembre 2011, cent-dix-sept gouvernements nationaux souverains du monde entier avaient publié l’accusé de réception du mémorandum de l’accord et s’étaient engagés à le signer officiellement au moment convenu à l’avance. Le consensus global qui s’en dégage n’était encore qu’à ses débuts.

L’accord incluait le soutien actif de l’assemblée regroupant des groupes autochtones concentrés en Nouvelle-Zélande et reliant 2700 cultures tribales dans 59 pays de la région Océanie / Polynésie / Pacifique Sud. Plusieurs de ces cultures autochtones océaniques entretiennent des liens anciens avec des traditions similaires en Europe, en Asie et dans les Amériques.

À la mi-septembre 2013, le nombre de nations souveraines pour et contre les Accords de Monaco et le nouveau système financier mondial soutenu par l’or est devenu plus clair. Cent soixante-dix-huit nations auraient manifesté un soutien actif; moins de quinze nations étaient contre. La Chine, la Russie, l’Inde, le Brésil, l’Afrique du Sud et 178 autres pays ont été mis en place pour gérer le nouveau système financier mondial adossé à des actifs et abandonner le système usuraire babylonien. Seuls les États-Unis, le Royaume-Uni, l’Allemagne, la France, l’Italie et le groupe restreint d’États esclavagistes du G5 résistaient aux réformes bienveillantes.

Les États esclavagistes du G5 comprenaient certaines monarchies pétrolières du Moyen-Orient dirigées par de faux musulmans pour le continuum nazi sabbatéen.² Ces royaumes pétroliers avaient été complétés par une entente avec les banques américaines — un système bancaire basé sur des pétrodollars — et les contrôleurs d’entreprise sabbatéens de la société privée de Washington DC. À la fin de 2014, les banquiers sabbatéens perdaient lentement et irréversiblement le contrôle de leurs trois cités indépendantes : la Cité de Londres, Washington DC et la Cité du Vatican.

Les satanistes sabbatéens, étroitement associés à la lignée des Rothschild, sont apparus à l’origine à la suite des machinations de Sabbataï Tsevi (1626-1676) et de sa cabale au XVIIe siècle. Zanth, un faux juif, était un messie juif autoproclamé qui, pour des raisons d’opportunité personnelle et opérationnelle, s’est converti à l’islam tout en établissant son groupe dans la Turquie ottomane.

Les Accords de Monaco se sont révélés être un événement extrêmement important, fournissant la base de l’alliance des BRICS, bien que cette alliance ne soit apparemment qu’une simple reprise de l’Union européenne, car elle n’a pas accès aux comptes collatéraux (Neil Keenan, dans des vidéos ultérieures, s’est montré insatisfait de la banque alternative BRICS, qui n’était qu’une autre banque mondiale). Les Accords de Monaco visaient aussi à séparer le système bancaire occidental du système financier entièrement nouveau, oriental (ou asiatique), adossé à des actifs. En coulisse, l’initiative a progressé activement depuis 2011. En 2014, les développements ont commencé à devenir visibles.

Par exemple, les accords concernant la nouvelle banque de développement basée à Shanghai³ et d’un fonds de réserve ont été annoncés ouvertement lors du sommet des BRICS à Fortaleza (Brésil) en juillet 2014. Entre autres choses, l’initiative de Monaco aboutira, à terme, à l’abolition de la Réserve fédérale américaine, à la délégitimation et à l’interdiction de la circulation et du négoce internationaux de toutes les monnaies en papier, et à l’introduction de plusieurs nouvelles monnaies internationales adossées à l’or, avec des noms complètement nouveaux.

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NOTES :

  1. De manière générale les BRICS plaident pour une refondation des organisations internationales comme le Conseil de Sécurité de l’ONU et les organisations de Bretton Woods (FMI, Banque mondiale) dans un sens qui reflète mieux l’émergence des nouvelles puissances et le caractère multipolaire du monde au XXIe siècle.
  2. Les sabbatéens sont les disciples du messie juif auto-proclamé Sabbataï Tsevi, né dans l’Empire ottoman, qui se convertit à l’islam en 1666. Le terme sabbatéen est principalement utilisé aujourd’hui comme synonyme de Dönme, le seul groupe sabbatéen encore actif, vivant en Turquie.
  3. La banque de développement basée à Shanghai peut accorder jusqu’à 350 milliards de prêts pour financer des projets d’infrastructures, de santé, d’éducation, etc., dans les pays concernés et, à terme, dans d’autres émergents. Point notable, elle n’assortit pas ses prêts de conditions contraignantes, comme c’est le cas du FMI, qui lui « exige des réformes structurelles et une ingérence politique intolérable en échange de son aide », a expliqué Anton Silouanov, le ministre des Finances russe. Cette option pourrait séduire nombre de pays émergents qui, comme l’Argentine, estiment que les conditions du FMI ont causé de sérieux dommages à leurs économies.
Nathalie Pages Koller
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