La Ville de Montréal et le réseau “100 villes résilientes” de la Fondation Rockefeller

En 1992, lors de la conférence des Nations Unies sur l’environnement et le développement, plus connue sous le nom de “Sommet de Rio”, coprésidée par l’ancien président de l’Union soviétique Mikhaïl Gorbatchev et le milliardaire canadien Maurice Strong, agent de N. M. Rothschild & Sons à Londres, l’ONU a dévoilé un programme philosophique environnemental radical qui “inversait” les valeurs traditionnelles. Ce programme d’action des Nations Unies dévoilé à Rio s’appelait Agenda 21. Il fait 300 pages et il est très complexe. Il est principalement conçu pour être mis en œuvre avec d’autres documents radicaux tels que l’Évaluation globale de la biodiversité (1140 pages), promus par la Conférence des Nations Unies sur les établissements humains, Habitat II, qui s’est tenue à Istanbul en Turquie du 3 au 14 juin 1996.

La première conférence d’Habitat s’est déroulée à Vancouver au Canada, du 31 mai au 11 juin 1976, et a spécifiquement identifié la propriété privée comme une menace pour la paix et l’égalité de l’environnement. Elle proposait de révolutionner le développement du territoire et des villes de chaque pays selon des directives environnementales “à la soviétique”, appelées “développement durable”. Le concept mortifère de l’Agenda 21 est profondément ancré dans la pensée et la stratégie de la Société fabienne. En effet, la Base fabienne de 1887, que tous les membres devaient signer et respecter, stipule ceci : « La Société travaille donc à l’extinction de la propriété privée et en conséquence de l’appropriation individuelle, sous la forme d’un loyer, un prix à payer pour l’autorisation d’utiliser la terre, ainsi que des avantages des sols et des territoires. » [1] Cette assertion était répétée dans la révision de 1919 de la Base fabienne. [2]

L’agenda secret communiste des Nations Unies à travers “l’environnementalisme” et le “développement durable” est très rusé et a trompé beaucoup de gens bien intentionnés. Il ne fait aucun doute que la plupart des gens veulent véritablement protéger l’environnement et faire en sorte que les ressources de la Terre soient “durables” pour les générations futures. Mais l’objectif communiste de “développement durable” et d’“environnementalisme” n’a absolument rien à voir avec la protection de l’environnement ou la durabilité — il s’agit d’abolir les droits de propriété et, en fin de compte, de collectiviser le logement et les fermes sous le contrôle de l’État.

La politique de “développement durable” des Nations Unies, introduite en 1992 à la CNUED de Rio de Janeiro et mise en œuvre par Habitat II et la Commission mondiale sur l’environnement et le développement des Nations Unies, est directement tirée du chapitre 2, article 18 de la Constitution de l’URSS de 1977, qui se lit comme suit : « Dans l’intérêt des générations présentes et futures, les mesures nécessaires sont prises en URSS pour protéger et faire un usage scientifique et rationnel de la terre et de ses ressources en minéraux et en eau, ainsi que des règnes végétal et animal, pour préserver la pureté de l’air et de l’eau, assurer la reproduction des richesses naturelles et l’environnement humain. » [3]

Le “développement durable”, également appelé “croissance intelligente”, semble être un outil essentiel dans la mise en œuvre du programme de l’Agenda 21 au Canada et dans le monde. L’ancien président de l’Union soviétique, Mikhaïl Gorbatchev, a clairement reconnu la possibilité d’utiliser l’alarmisme climatique pour faire avancer les objectifs marxistes socialistes mondiaux après l’effondrement économique et politique des États-Unis. En 1996, il a déclaré : « La menace de la crise environnementale sera la clé de la catastrophe internationale pour ouvrir le Nouvel Ordre Mondial. » [4]

« Il est vrai que l’Agenda 21 n’a de sens que comme un manifeste crypto-communiste. Dans ce cas, quoi que ce soit qui soit favorable à l’environnement, à l’urbanisation ou à la lutte contre la pauvreté, tout ce qui pourrait s’aligner sur l’un des grands thèmes de l’Agenda 21 n’est pas ce qu’il semble être : c’est en fait un complot sinistre. » — David Reevely


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